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Les autres sont des opérations avec des s privées. Cette consolidation correspond à un apport global [url=http://www.0417e.com/home.php?mod=space&uid=49768][/url] de chiffre d'affaires de [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour[/url] 871 millions d'euros.
La première d'entre elles n'est autre que InVivo, groupement de [url=http://www.ihaveadreambook.in/forum/topic.php?id=91831]louboutin pas cher Le gouvernement se félicite de laccord e[/url] coopératives céréalières, [url=http://www.ilyav.com/isabelmarant.php]isabel marant sneakers[/url] qui affiche un chiffre d'affaires de plus de 6 milliards. Vient ensuite Tereos, producteur de sucre, de biocarburant ou encore d'amidon, avec un chiffre d'affaires de 4,5 milliards. Sur la troisième marche du podium figure le groupe laitier Sodiaal, 4,4 milliards de revenus.
Plusieurs motivations sous-tendent ces fusions-acquisitions. Une volonté de se développer à l' tout d'abord. Ainsi, le semencier Vilmorin, filiale de Limagrain, a pris une participation [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] majoritaire dans [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] le numéro trois indien des semences de ma?s Bisco Bio et a repris l'activité semences potagères de l'américain Campbell's Soup. De même, Tereos a acheté une [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php‎]giuseppe zanotti soldes[/url] distillerie en .
Et pourtant, les coopératives agricoles fran?aises, propriétaires de ces marques, sont souvent devenues des groupes puissants. Selon les chiffres publiés, mardi 11 décembre, par , elles pèsent, avec leurs filiales, 83,7 milliards d'euros en 2012.
Autre axe prioritaire : le renforcement national. A l'exemple de la fusion de Champagne Céréales [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister[/url] et Nouricia, qui a donné naissance à Vivescia, un acteur de poids dans la filière [url=http://www.ilyav.com/isabelmarant.php]isabel marant pas cher[/url] céréalière.
ELARGIR LA PALETTE D'ACTIVIT?S
Certains s'inquiètent du poids pris par ces grandes coopératives. Mais Coop de France met en exergue la taille des concurrents internationaux. La plus grosse coopérative européenne, le groupe laitier [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour paris[/url] néerlandais , pèse 9,6 milliards d'euros. A aux 12,2 milliards de son homologue néo-zélandais, Fonterra.
Enfin, des coopératives nouent des partenariats pour élargir leurs palettes d'activités et la filière en [url=http://www.szwalking.com/home.php?mod=space&uid=182344][/url] aval. Tout récemment, deux coopératives céréalières, Axéréal et Artemis, ont annoncé la création d'une société commune, Durum, spécialisée dans le [url=http://www.achbanker.com/homes.php]www.achbanker.com/homes.php[/url] négoce international du blé dur.
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Ces coopératives agricoles se [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister france[/url] sont lancées, depuis quelques années, dans une course à la taille. Un mouvement de consolidation qui s'est poursuivi en 2012. Coop de France estime à 80 le nombre d'opérations de [url=http://www.gotprintsigns.com/abercrombiepascher/‎]abercrombie soldes[/url] fusions, d'acquisitions et de partenariats conclus par des coopératives sur les dix premiers mois de l'année. Dont 47 entre acteurs de la coopération.