Guild Wars Guild

[qdnto15z]

Du [url=http://jcommunity.loginradius.com/forum/newtopic]hollister pas cher Eurostar les questions auxquelles lenquête doit répondre[/url] c?té de la Banque centrale européenne (BCE), on est très à cheval sur le respect de ce cahier des charges. Pour les banquiers centraux, il ne s'agit pas seulement d'un examen de passage : le respect des critères de sélection doit être durable. "Il ne suffit pas de le radar à la vitesse limite, résume un haut dirigeant monétaire européen. Les pays qui veulent dans l'euro doivent être capables de ces critères à long terme, même avec la monétaire de la BCE."
A Vilnius, Sofia ou Varsovie, on [url=http://www.davidhabchy.com]barbour outlet[/url] redoute un durcissement des règles. "Ce serait une grosse erreur", a jugé, début mars, le premier ministre lituanien , dont le pays [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister[/url] avait été recalé de peu en 2007, en raison d'une inflation trop volatile. Certains responsables européens ont déjà appelé, l'an passé, à une refonte des critères de sélection, en y intégrant notamment celui de [url=http://www.mansmanifesto.fr]doudoune moncler[/url] la balance des paiements. Chez les nouveaux Etats [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich parka[/url] membres, elle est souvent déficitaire, à cause de l'afflux de capitaux étrangers investis dans ces économies en pleine transition.
Les pays de la région n'ont pas les mêmes faiblesses économiques. La Hongrie a une dette publique importante qui frise les 80 % de son produit intérieur brut (PIB). Frappée de plein fouet par la crise, elle a été mise à l'automne 2008 sous perfusion financière par le Fonds monétaire (FMI) et l'UE. Les pays baltes ont, eux, souffert d'une inflation galopante avant d'être à leur tour ébranlés par la crise.
"Les responsables européens vont sans doute de discrètement quelques candidats, affirme [url=http://www.lscgw.cn/forum.php?mod=viewthread&tid=95347&pid=831823&page=126&extra=page=1#pid831823]ugg pas cher L’insolente rentabilité des banques[/url] Gunter Deuber, économiste à la Deutsche Bank et spécialiste de l' de l'Est. La prudence est justifiée pour certains, qui sont encore en plein rattrapage. Mais d'autres ont fait leur et méritent leur ticket d'adhésion, comme l'Estonie."
Parmi les anciens pays du bloc communiste, seules la [url=http://www.davidhabchy.com]barbour sale[/url] et la ont, à ce jour, adopté la devise européenne. La liste des candidats est longue. Les [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister[/url] trois Républiques baltes - , , - ont déjà lié leur monnaie à l'euro par un taux fixe.
Après les turbulences de ces derniers mois, les grands pays pourraient être tentés de leurs efforts sur la consolidation de la zone euro avant de [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php]giuseppe zanotti sneakers[/url] l'élargir. La France pourrait en avant les difficultés grecques pour l', traditionnellement plus encline à élargir la zone euro, à la prudence. "Il est clair que la crise grecque est un rappel à l'ordre, dit un expert financier. Elle met en lumière les problèmes de compétitivité des pays : l'euro, cela donne cinq ou six ans de déficit sans pleurs, mais la sanction arrive à un moment ou l'autre".
Ils sont hors de la zone euro, mais voient d'un très mauvais oeil la crise provoquée par la dérive budgétaire de la : les Etats jeunes membres de l' (UE), à l'est et au nord-est, s'inquiètent de plus que prévu avant de la monnaie unique.
Mais beaucoup ont engagé d'importantes réformes structurelles afin de se aux règles de Maastricht. L'Estonie, par exemple, a pris des mesures d'austérité draconiennes, dont des baisses de salaires à deux chiffres. Elle fait aujourd'hui figure de [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]www.vivid-host.com/barbour.htm[/url] solide prétendant. Mais la porte pourrait, après elle, se durablement.
"Nous n'allons pas de nouvelles conditions, seulement parce que nous avons un problème avec un membre de longue date de la zone euro", a rétorqué Angela Merkel. Intransigeante avec la Grèce, la chancelière allemande exige de "loyalement" les candidats à l'euro.
En principe, les candidats à l'euro doivent la monnaie unique dès lors qu'ils respectent les critères de convergence fixés par le traité de Maastricht : publiques en ordre, ma?trise de l'inflation, taux de change stable.
"Les Etats membres de la zone euro n'ont pas respecté leurs propres règles", a tancé l'ex-présidente lettone , aujourd'hui membre d'un "comité des sages" chargé de l' de l'UE. "Se de cela comme excuse pour ne pas ses promesses envers les futurs membres, je trouve cela franchement nul", s'est-elle agacée lors d'un débat en , lundi 29 mars, avec des [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php]giuseppe zanotti pas cher[/url] responsables gouvernementaux et financiers.
L'Estonie espère l' d'ici à 2011. La souhaite, elle, intégrer dès cette année [url=http://qzmuseum.net/Review.asp?NewsID=139]Epargne Le gouvernement va réformer lassurance-vie[/url] le mécanisme de change européen (MCE II), antichambre de l'entrée dans la zone. Tirant argument de la crise, la Pologne et la avaient même prié, en 2009, les fondateurs de l'euro de les procédures d'adhésion. En vain. A l'époque, la monnaie unique [url=http://www.ilyav.com/uggpascher.php]boots ugg pas cher[/url] semblait un bouclier efficace pour se protéger de la . Mais le quasi-naufrage grec met à rude épreuve la cohésion [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour[/url] de l'union monétaire (16 Etats [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey outlet[/url] membres), et fragilise son élargissement.