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Une de la société Dafsa (groupe Profideo) de 2009 avait montré que plus d'un quart de la fran?aise (27 %) avait déjà différé une dépense de santé pour des questions de budget, en particulier une dépense co?teuse et mal remboursée : soins dentaires, lunettes, consultation chez un médecin spécialiste... Un tiers [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour paris[/url] des individus confrontés à ces difficultés disposait de moins de 1 500 euros de revenus mensuels.
"Nous avons lancé il y a deux ans [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister[/url] et demi un prêt santé à taux zéro avec une mutuelle de la fonction publique. Nous nous sommes vite rendu compte que le besoin était général, explique , directeur général adjoint de CMP-Banque. La santé co?te cher et le déremboursement des actes et des frais médicaux gagne du terrain. Il n'y a pas de honte à pour de telles dépenses."
leurs dépenses de santé, le Crédit municipal de Paris a lancé, le 2 janvier, par l'intermédiaire de sa banque (CMP-Banque), un "prêt santé" accessible sans condition de ressources, d'un [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] montant de 3 000 euros maximum, remboursable sur 6 à 36 mois, à un taux d'intérêt fixe de 2,95 %.
La crise accentue cette situation. En avril 2012, une enquête d'IHS sur la population des assurés a révélé qu'un détenteur d'un contrat santé individuel sur dix (12 %) a reporté des dépenses de santé pour des raisons financières, au cours des douze mois précédents. Le report de soins prend donc de l'ampleur dans la société fran?aise. Et, fait nouveau, le phénomène s'observe dans toutes les catégories socio-professionnelles.
Pour le banquier, le prêt santé du Crédit Municipal serait peu co?teux, avec, par exemple, des échéances de remboursement de 130 euros sur vingt-quatre mois pour un capital de 3000 euros. "Il n'est pas normal que des personnes renoncent aux soins parce qu'elles n'ont pas d'argent ou de mutuelle, poursuit M. Bouriez. En tant que banque sociale, nous nous devions de quelque chose".
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Le Crédit municipal n'est pas le seul à réfléchir à l'. Les assureurs, de leur c?té, s'adaptent aux capacités de financement des Fran?ais, telle la Matmut qui vient de une complémentaire santé centrée sur les soins "les plus essentiels " (dont l'hospitalisation) pour les personnes "en situation de à se soigner".
S'agissant d'équipements [url=http://bbs.37374.com/forum.php?mod=viewthread&tid=378&fromuid=250]nike air jordan pas cher The Reason Why Get The Services Of A Class Action Attor[/url] ou d'actes médicaux onéreux, peu ou prou [url=http://www.1855sacramento.com/moncler.php]moncler sito ufficiale[/url] pris en [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php‎]giuseppe zanotti soldes[/url] charge par la Sécurité sociale, et mal remboursés par les complémentaires santé, les Fran?ais seraient, par ailleurs, de plus en plus nombreux à certaines dépenses de santé.
"Les professionnels doivent s' à la société et à la crise ! Il est inconcevable qu'une complémentaire santé puisse représenter 80 [url=http://www.taojiu.cc/read.php?tid=36985]louboutin pas cher Concurrencé, Le Grand Journal cherche à se renouveler[/url] % des revenus d'un retraité !", estime , fondateur du cabinet Facts & Figures.
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Cette banque, adossée à la vieille institution de prêts de gage, spécialisée dans la restructuration [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister france[/url] de pour les ménages "malendettés", constate que de plus en plus d'individus [url=http://www.mnfruit.com/louboutinpascher.php]louboutin[/url] recourent [url=http://www.mquin.com/saclancel.php]lancel[/url] aux crédits renouvelables pour leurs frais de santé (dentaires, [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]abercrombie[/url] auditifs, etc.). Un comportement préoccupant si [url=http://www.1855sacramento.com/moncler.php]moncler outlet[/url] l'on a à l'esprit que ce type de crédits, assortis [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey outlet[/url] de taux usuraires, fait souvent leurs souscripteurs dans le surendettement.