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en vacances d'hiver au et de Angkor, la capitale des rois khmers, enfouie dans la jungle au nord-ouest de Phnom-Penh. Ceux qui l'ont arpentée en gardent un ébloui. Pour les autres, une visite sur Internet s'impose. Elle débute avec Earth, la mappemonde virtuelle du géant [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour[/url] du Web, facile à télécharger. On zoome sur les images satellite, cap l'Asie du sud-est, 14° 21'91'' nord, 104° 04' 14'' est. Et le commence.
Vue du [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] ciel, sur son écran, Angkor frappe l'imagination. Elle était l'épicentre d'un empire qui, au XIIe siècle, fut le plus influent et le plus brillant d'Asie, après son rival chinois.
Les tours de ce temple, l'un des plus visités, ornent le drapeau cambodgien d'aujourd'hui. Elles disent la nostalgie de ce pays, malmené par l'histoire, pour son prestigieux passé. "Les Khmers sont un grand peuple qui a construit les temples d'Angkor. Depuis, ils sont fatigués", a coutume de l'ancien roi Norodom Sihanouk, le père de l'actuel souverain.
Courriel :
Bernard Philippe Groslier, un archéologue fran?ais, usait d'une comparaison éloquente pour décrire ses splendeurs : "Qu'on se représente, échelonnés de la à la Nation, mais noyés dans la jungle, Versailles, la Concorde, le Louvre, la place des Vosges, Fontainebleau, entourés de Notre-Dame de Paris, des [url=http://www.gotprintsigns.com/abercrombiepascher/‎]abercrombie pas cher[/url] cathédrales de Chartes et de Reims, [url=http://www.achbanker.com/homes.php]www.achbanker.com/homes.php[/url] d'Amiens, de Bourges, de Strasbourg, [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey[/url] en y ajoutant les églises de Paris construites avant le XIXe siècle." Google Earth montre ces merveilles dans le détail. Un clic sur les monuments qu'on survole et leur photo appara?t. Une équipe internationale de chercheurs a fait [url=http://www.achbanker.com/homes.php]hollister france[/url] mieux encore, avec l' de la NASA, l'agence spatiale américaine.
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Courriel :
Pour se une idée de la vie quotidienne des Khmers telle que l'archéologue l'imaginait, on peut sur le site du magazine américain National Geographic. "Angkor Interactive" dans la bo?te "Search" puis sur le portail des animations en 3D. L'une d'elles montre un Khmer du XIIe siècle pagayant le long de cabanes sur pilotis. Sur d'autres, on voit des rizières d'un vert et la [url=http://inclamar.com/forum/discussion/84545/barbour-paris-le-pari-de-la-rigueur]barbour paris Le pari de la rigueur[/url] locale occupée aux t?ches de tous les jours. La plus parlante montre le temple d'Angkor [url=http://www.ilyav.com/isabelmarant.php]isabel marant sneakers[/url] Vat tel qu'il existait à l'époque, au milieu d'habitations dont la trace, depuis, a été perdue.
Leur très lointain prédécesseur, le roi Jayavarman VII (1181-1218), porta la civilisation khmère à son [url=http://www.mxitcms.com/tiffany/]tiffany outlet[/url] apogée. Un autre onglet de Nationalgeographic.com ("Temples of Angkor") illustre la fièvre [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] b?tisseuse qui habitait ce souverain probablement lépreux. Il montre une coupe du Bayon, le temple qu'il fit au de la ville d'Angkor Thom, tel un panthéon aux divinités de l'empire, [url=http://www.ilyav.com/uggpascher.php]boots ugg pas cher[/url] brahmaniques et bouddhiques.
Un portrait émouvant de lui figure sur le site [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] du Musée Guimet de Paris (onglet "Collections" puis "Asie du Sud-Est"). Son de grès, le fameux "sourire d'Angkor", invite les visiteurs à méditer sur le destin de ce peuple qui, après le règne de Jayavarman VII, renon?a à ériger d'autres grands monuments. Le déclin approchait. Au terme de six cents ans de prospérité, vers 1500, Angkor s'effondra sous l'effet, sans doute, de la sécheresse et des assauts du royaume de Siam, l'actuelle . Petit à petit, la forêt submergea tout, jusqu'à ce [url=http://www.suz1.co.jp/cgi-bin/board/honey.cgi]peuterey outlet Les clés dun [/url] qu'un naturaliste fran?ais, (1826-1861), tire Angkor de l'oubli.
En étudiant des relevés aériens, elle a découvert que le berceau de [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin[/url] la civilisation khmère s'étendait bien au-delà d'Angkor Thom, la ville cernée de murs où s'élèvent les plus beaux temples. Son périmètre était probablement le triple de ce qu'on imaginait jusque-là : un [url=http://www.sakana.gr.jp/cgi-bin/bbslight/light.cgi?res=379]louboutin pas cher Why Online[/url] immense complexe urbain, sillonné de canaux reliant mille bassins artificiels. Angkor, "civilisation hydraulique". L'expression est aussi de Bernard Philippe Groslier.
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