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La manière de présenter la crise est déterminante. Or celle-ci peut être instrumentalisée par calcul ou médiatique. "En Allemagne, l'histoire que l'on raconte est celle d'une crise liée à la [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk[/url] dérive de la Grèce, analyse M. Mo?c, alors qu'en France c'est la faute des banques et des marchés."
Au Nord, [url=http://www.zxw001.com/bbs/home.php?mod=space&uid=17587]nike air jordan pas cher Lacteur Charlie Sheen rem[/url] les économies qui commencent à être fragilisées par la crise ont un coupable tout désigné : Athènes, remarque [url=http://www.gotprintsigns.com/monclerpascher/]moncler pas cher[/url] , chez Natixis AM. "Cette crise est trop per?ue à travers le prisme grec qui est un cas très particulier, [url=http://cgi.ebay.ca/ws/eBayISAPI.dll?ViewItem&item=321008881654&ssPageName=STRK:MESE:IT]moncler outlet Vodafone met l[/url] conclut M. [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] Pisani-Ferry. Si l' avait été le premier pays à de l'aide, les choses auraient été bien différentes."
. Excessif. Pourtant, à la lecture des récents sondages, [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour[/url] le propos reflète la fracture de plus en plus visible [url=http://www.gotprintsigns.com/hollisterpascher/‎]hollister pas cher[/url] entre les Etats de la zone euro riches et vertueux, principalement situés au Nord du , et les autres, ces pays du Sud embourbés dans la crise, les déficits et la récession.
Pour les experts, [url=http://www.otsu.ed.jp/ktt-e/bbs/bbs.cgi/bbs.cgi%2Bresult:%2Bchosen%2Bn%253C/bbs.cgi%253E]moncler outlet A Look At The [/url] cette distorsion entre "nordistes" et "sudistes" a des explications culturelles, économiques et médiatiques. Selon les pays, "les gens [url=http://www.davidhabchy.com]barbour outlet[/url] se vivent comme les créanciers de la Grèce ou comme les Grecs", pointe , du de réflexion européen Bruegel.
LA D?RIVE GRECQUE
Ce [url=http://www.mansmanifesto.fr]doudoune moncler homme[/url] clivage se manifeste par le rejet ou non du pays jugé le plus fautif dans la crise de l'union monétaire : la . Une étude de l'institut Harris pour le révélait, lundi 3 septembre, qu'à peine un quart des Allemands (27 %) souhaitaient qu'Athènes reste dans l'euro, 54 % plaidant pour sa sortie. Les Italiens, Fran?ais et Espagnols également interrogés sont plus indulgents, avec 32 % de Fran?ais appelant à la sortie du pays, pour 27 % des Espagnols et 21 % des Italiens.
S'ajoutent à cette catégorie les Autrichiens : selon [url=http://www.ilyav.com/uggpascher.php]boots ugg pas cher[/url] une de l'institut Karmasin pour le journal Heute, deux Autrichiens sur trois s'opposent à l'idée que l'Union aide davantage la Grèce, 39 [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour paris[/url] % étant "totalement opposés" et 26 % [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php]giuseppe zanotti sneakers[/url] "plut?t opposés".
La position allemande n'est pas surprenante. Les "unes" de la presse relaient l'exaspération d'une partie de la envers Athènes, premier pays à demandé l' de l'Europe tout en étant accusé d' triché sur l'ampleur de ses déficits. La et les font partie de ces "mécontents", payant pour la Grèce, mais à contrecoeur.
Le poids [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] de l'histoire économique joue aussi. "En ou en Finlande, les gens ont le sentiment – justifié – d' passé les années 1990 à souffrir", commente Gilles Mo?c, économiste chez Deutsche Bank. Pour préserver la compétitivité la hausse du d'achat a été limitée. "Quand il s'agit de – enfin – [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey outlet[/url] les fruits de ces efforts, les budgets nationaux sont sollicités pour des vers l'étranger", note-t-il.