Guild Wars Guild

[qdnto15z]

En visite [url=http://business-social.fr/groups/14498]boots ugg pas cher EDF est contrainte de vendre moins cher son électricité à ses concurrents[/url] sur l'?le, mardi 19 juin, , président du groupe Socialistes et démocrates au Parlement européen, [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk[/url] s'est dit "dé?u" par l'attitude turque, soulignant que "la présidence chypriote est avant tout une institution de l'Union". La Turquie ne doit pas s' à des "compromis" de la part de Bruxelles, a-t-il prévenu.
Quand bien même la volonté de l'UE resterait intacte, Ankara a toujours vécu les négociations d'adhésion comme une discussion [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] de puissance à puissance. Dès lors, les muscles, y compris à l'encontre d'un Etat membre, deviendrait un moyen de pression comme un autre. D'autant que la majorité des chapitres d'adhésion bloqués le sont du fait d'un veto chypriote.
"AUCUN CADEAU" ? LA PR?SIDENCE
"On retrouve le même schéma que dans la relation à , estime Erol Kaymak, de l'université de Famagouste, dans le Nord. D'abord, le discours agressif, puis la prend le relais, introduisant [url=http://www.1855sacramento.com/moncler.php]moncler sito ufficiale[/url] une bonne dose de réalisme." Levent, directeur du journal chypriote turc Afrika, qui dénonce la présence turque sur l'?le, ce discours est d'autant plus aisé pour Ankara que le pays devient incontournable sur la scène moyen-orientale.
Les prérogatives de la présidence tournante ont été largement limitées par la nomination d'un président stable du Conseil européen, Rompuy, et le r?le croissant occupé par les Etats dans la gestion de la crise de la dette, mais les dossiers que devra cogérer la présidence chypriote sont de taille. En tête de l'agenda : la recherche d'une nouvelle gouvernance économique européenne, la réforme de la agricole commune et la [url=http://www.publishfreeads.com/index.php?page=item&id=320636]peuterey Crise de la dette Un accord se dessine avant le sommet de mercredi[/url] négociation du cadre financier des budgets européens pour 2014-2020.
Quels effets ce boycottage peut-il ? Georgios Iacovou, principal négociateur chypriote grec sur la question de la division de l'?le, hausse les épaules : "Libre à la Turquie de se une balle dans le pied. Ces menaces n'améliorent pas sa situation en et montrent qu'elle n'adhère pas aux valeurs de base du projet européen."
Pour la recapitalisation de la Banque populaire, très exposée aux soubresauts de la dette grecque, Chypre devrait appel au Fonds européen de stabilité financière. Le précédent espagnol lui laisse espérer une sans contreparties, [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour paris[/url] c'est-à-dire sans pressions européennes pour une réforme de son secteur public hypertrophié ou de son faible imp?t sur les s (10 %). Pour ses besoins de financement public en 2013 et 2014, et alors que ses partenaires l'exhortent à privilégier une solution européenne, Nicosie se [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] tournerait vers la , qui utilise le pays comme plate-forme pour ses investissements européens. "Au moment où le pays va la tête de l'UE, il y a un problème d'affichage", regrette un diplomate européen, qui va jusqu'à la "loyauté" européenne de Chypre.
s'achève dans une sereine discrétion, sa succession, assurée par la République de (1,1 million d'habitants), suscite bien des inquiétudes. Le 1er juillet, c'est? et en crise diplomatique ouverte avec la qui prendra les rênes pour six mois.
L'intransigeance affichée par la Turquie a toutefois des sources plus profondes. Elle s'explique largement par la lassitude d'un pays qui a fait acte de candidature à l'UE il y a déjà vingt-cinq ans : irrité par les atermoiements des Européens sur le sujet et de moins en moins convaincu de l'intérêt d'une adhésion, M. Erdogan utiliserait la présidence chypriote comme un moyen de "titiller" l'Europe, selon le mot d'un fonctionnaire européen - de lui "faire un bras d'honneur", selon celui d'un officiel chypriote.
A Nicosie, on craint surtout que l'annonce du boycottage ne soit qu'une première étape avant d'autres "provocations". Sont ainsi évoquées une tentative d'Ankara d' la reconnaissance de la République turque de Chypre du Nord par des pays amis ou une pression accrue lorsque l'?le [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php]giuseppe zanotti sneakers[/url] annoncera, à la fin de l'année, l'attribution de nouveaux [url=http://hobbycourt.com/index.php?option=com_blog&view=comments&pid=359953&Itemid=0]hollister Opel tire un trait sur 59 ans de présen[/url] appels pour la prospection de ses ressources gazières en mer, y compris par l'envoi, comme ce fut le cas en 2011, de navires militaires.
Les Européens espèrent surtout que les dossiers du semestre à ne seront pas "pollués" par un de tensions exacerbées. L'incertitude pèse plus encore sur les questions impliquant une coopération directe avec la Turquie, même si elles ne sont pas du seul ressort de la présidence tournante : politique d'immigration et d'asile, et relations avec le [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] monde arabe.
Des observateurs relativisent toutefois l'éventualité d'un conflit en assurant que le raidissement turc est avant tout un discours à usage interne. A l'heure où le Parti de la et du développement (AKP, islamiste) accro?t son emprise sur la société turque, il conviendrait de des gages aux militaires et aux franges nationalistes. "Dans le système de décision opaque qui sous-tend la vie politique à Ankara, les ultranationalistes ont toujours eu le dernier mot sur la politique chypriote", écrit Jean-Fran?ois Drevet dans son ouvrage de référence Chypre entre [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister[/url] l'Europe et la Turquie (Karthala, 2011).
Malgré l'enthousiasme perceptible à Nicosie, les nuages s'accumulent. Classé comme emprunteur à risques par les agences de notation et privé d'accès aux marchés, le pays a d? se résoudre à . Nicosie espère le dossier avant le 1er juillet, mais les pistes [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister[/url] explorées font déjà quelques dents à Bruxelles.
Plus inquiétant, la présidence chypriote semble une nouvelle crise diplomatique avec la Turquie. Le 23 juillet 2011, en visite en République turque de Chypre du Nord, entité occupée depuis 1974 par la Turquie et reconnue uniquement par celle-ci, le premier ministre turc, [url=http://www.davidhabchy.com]barbour sale[/url] Recep Tayyip Erdogan, prévenait que son pays ne ferait "aucun cadeau" à la présidence chypriote. Début juin, son ministre des , , a confirmé qu'"aucun ministère, aucune institution de la république turque ne sera en contact avec la présidence européenne dans quelque activité où la présidence chypriote grecque serait partie prenante".
Après hésité à se de "sa" présidence pour les autres membres de l'UE à plus de fermeté, Nicosie a finalement décidé de profil bas. "Il n'y aura pas d'agenda chypriote [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] caché", assure . "Ce que veulent les Chypriotes, c'est simplement une "présidence normale"", résume un diplomate.
"Nous sommes fin prêts", se réjouit , vice-ministre des affaires européennes. Représentant permanent de Chypre auprès de l'UE, ce proche du président (communiste) a été rappelé de Bruxelles pour s' du dossier. "Nous voulons réussir une présidence exemplaire, dit-il, pour à nos partenaires que, malgré nos difficultés internes et notre petite taille, nous sommes un partenaire fiable et sérieux."
Sur le plan de l'organisation, aucun doute : le pays est paré pour jusqu'au 31 décembre chefs d'Etat, ministres, fonctionnaires européens et journalistes. Le de conférences Filoxenia, dans le sud-est de Nicosie, la capitale, a été rénové pour des salles de réunion et de presse dernier cri. La climatisation, mise à mal après l'explosion en juillet 2011 de la centrale électrique de Mari, y tourne à plein régime : on [url=http://www.achbanker.com/home.php]www.achbanker.com/home.php[/url] annonce jusqu'à 50 °C au coeur de l'été.
Concrètement, il semble peu probable que les six mois de présidence chypriote voient une avancée dans les négociations d'adhésion d'Ankara, laquelle adhésion devra in fine par une reconnaissance de la République de Chypre. De la même fa?on, les discussions entre Chypriotes grecs et turcs sur l' de l'?le, quoique déjà au point mort, ont été suspendues par l'ONU, qui en est chargée.