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Paulo Flores, 40 ans, est un voyageur du monde. Il lui fallait le pays [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk outlet[/url] "dans sa peau, dans sa plume", confesse l'homme doux et résistant qui écrit en portugais et [url=http://cgi.netlaputa.ne.jp/~krs_n/cgi-bin/udo-bbs/yybbs.cgi]louboutin Switchboard Reverse[/url] en kimbundu, la langue nationale la plus parlée en Angola. Ses textes poétiques et engagés alternent entre images de fête et cris d'indignation contre la misère et la [url=http://www.davidhabchy.com]barbour outlet[/url] violence de son pays. A l'instar de ses tempos, qui vont des rythmes et mélodies dansantes, en passant par des tonalités plaintives. Depuis 2007, Paulo Flores est ambassadeur de bonne volonté pour l'ONU. Un r?le [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey outlet[/url] allant de pair avec sa création artistique qui nourrit un sillon de résistance.
se produira au Thé?tre de la samedi 2 juin et au festival de Toulouse le 16 juin pour présenter son album Excombatentes. Sorti en [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] 2009, il rassemble quinze morceaux, une trilogie enregistrée entre l', le et le [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey[/url] .
Le Excombatentes vient du quartier de [url=http://www.davidhabchy.com]barbour sale[/url] Luanda, la capitale de l'Angola, où les rues portent les noms de commandants qui luttèrent pour l'indépendance. L'histoire de son pays est au c?ur de ce récital, [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister france[/url] hommage aux survivants de la guerre civile qui a débuté en 1975, juste après l'émancipation du joug colonial du Portugal.
SENTIR LE PAYS
Parti à [url=http://www.jordanpascherofficiel.com]air jordan[/url] l'?ge de treize ans pour à Lisbonne [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister[/url] avec sa "mère et toutes les femmes de la ", Paulo Flores revient dans son [url=http://www.jordanpascherofficiel.com]air jordan pas cher[/url] pays natal en 2001, alors que le pays s'apprête à la paix. Les visites saisonnières effectuées chez son père resté au pays ne lui suffisent plus. "J'ai voulu mes racines et ", raconte le musicien qui s'est approprié ce genre musical angolais en y [url=http://my.cigarlead.com/home.php?mod=space&uid=15839&do=blog&quickforward=1&id=354818]louboutin La souffrance au travail à son paroxysm[/url] insufflant des accents brésiliens et capverdiens.
Au , le 2 juin à 17h. Prix : de 14 à 20 euros.
Au le [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister france[/url] 16 juin à 20h sur la scène .
Prix : pass à la journée 5 euros. Pass 5 jours 20 euros Paulo Flores, Excombatentes (Rue Stendhal/ Terra eventos)
En Angola, la musique a d'abord été purement africaine avant de un virage à 180 degrés [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister[/url] vers l'Occident. "Nous cherchons aujourd'hui nos marques pour le futur", explique l'artiste pour qui la lusophonie est comme un cocon où un nouveau genre peut s'éclore. Il a en effet collaboré pour [url=http://www.unlimmobile.ru/forum/index.php?topic=2064074.msg2790984#msg2790984]jordan pas cher The Basics Of Accounts Receivable Factoring[/url] cet album avec des musiciens de son pays, orchestrant un mélange de rythmes et de mélodies issues du semba angolais, de la morna capverdienne, de la samba brésilienne et du fado portugais.