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Moins ouvert, le modèle colombien semble néanmoins ses fruits. Créée en 1951, l'entreprise publique Ecopetrol a toujours collaboré avec des opérateurs privés. Après une dérégulation du secteur en 2003, Ecopetrol a été constituée en société à économie mixte, dont 88 % des actions sont détenues par l'Etat, le reste par des actionnaires privés. Les opérateurs, propriétaires de la production à de contrats de concession, versent à l'Etat un droit d'exploitation du sous-sol et des royalties. Pari gagné avec une production de brut qui est passée, entre 2005 et 2011, de 540 [url=http://www.02498.net/forum.php?mod=viewthread&tid=132390]barbour sale Un tiers des poissons vendus avec un étiquetage frauduleux aux Eta[/url] 000 à 940 000 barils par jour.
Bilan : le Brésil a atteint l'autosuffisance en 2006. Mais, au deuxième trimestre 2012, Petrobras a affiché des pertes de 665 millions de dollars (497 millions d'euros). Une première depuis 1999.
Le est allé plus loin. Entre 1995 et 1998, l'Etat a mis fin à son monopole sur le pétrole. Tout en restant [url=http://www.ilyav.com/uggpascher.php]boots ugg pas cher[/url] publique, la compagnie Petrobras, créée en 1953, est entrée en 2000 à la de New York. [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister[/url] Le gouvernement détient 48 % [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister france[/url] des [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour paris[/url] titres, contre 20 % pour des actionnaires brésiliens [url=http://www.mansmanifesto.fr]doudoune moncler homme[/url] et 32 % pour des étrangers. L'Etat garde 64 % du capital en droits de vote. Petrobras produit 2,5 millions de barils par jour à de contrats de concession ou de production partagées, qui rémunèrent les compagnies en pétrole.
En comparaison, le projet de [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin[/url] réforme de Pemex semble timide avec ses contrats de profits partagés, où les compagnies seraient rémunérées sur les seuls bénéfices [url=http://www.sanyouph.com/home.php?mod=space&uid=106281][/url] de la vente du pétrole. Mais, pour M. Wood, "c'est déjà un changement historique !"

PROFITS PARTAG?S
Cuba [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister[/url] dispose d'un cadre légal plus souple ! La compagnie pétrolière nationale, Cubapetroleo (Cupet), reste [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php]giuseppe zanotti sneakers[/url] contr?lée à 100 % par l'Etat. Mais, depuis le début des années 2000, le gouvernement propose aux compagnies étrangères des contrats "de [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] production de risque". Associées à Cupet, ces dernières fournissent le capital, la technologie et le savoir-faire, contre 50 % de la production. Leurs bénéfices réalisés à sont taxés. Avec une production de brut de 55 500 [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk[/url] barils par jour, le pays reste importateur. Sa (184 000 barils par jour) est assurée par un accord de coopération avec le .
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"Le monopole mexicain sur le est le plus restrictif au monde avec celui de la [url=http://www.d-uso.to/ita/main/main.cgi?res=19807]barbour uk Made in France (1)[/url] ", souligne Duncan Wood, spécialiste des énergies à l'Institut technologique autonome du . A [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] la différence de ses voisines d'Amérique latine, la compagnie publique mexicaine, [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]www.vivid-host.com/barbour.htm[/url] Petroleos Mexicanos (Pemex), garde la main sur la totalité de la cha?ne productive, n'accordant aux compagnies privées que des contrats de prestation de . Tour d'horizon des autres pays du sous-continent qui ont ouvert leur secteur énergétique aux investisseurs.