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Dans ce contexte de hargne anti-banquiers, la célébration du 25e anniversaire du "big bang", la déréglementation de la de Londres par , est passée quasi [url=http://www.mansmanifesto.fr/category/doudoune-moncler-homme/]doudoune moncler homme[/url] inaper?ue.
La nature a horreur du vide. L'omerta s'est retournée contre les banquiers. Ainsi, un documentaire réquisitoire diffusé sur France [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php]giuseppe zanotti sneakers[/url] 5 (La City. La Finance en eaux troubles) ne fait que les critiques les plus véhéments. Les diatribes des intéressés finissent par sympathique la [url=http://www.mxitcms.com/tiffany/]tiffany outlet[/url] confrérie des grands argentiers. Le seul défenseur de la finance qu'a pu le réalisateur est un gérant de hedge fund que l'on s'attend à la nuit tombée de la bouche du métro "Bank" brandissant une hache pour dévaliser de pauvres épargnants en haillons. Grotesque...
Cette initiative aurait au moins un mérite, aux [url=http://www.davidhabchy.com]barbour outlet[/url] banquiers de la règle du silence.
La faillite de la caisse [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk outlet[/url] hypothécaire , en 2007, est là pour en témoigner. Par ailleurs, le trading n'est pas spéculatif par nature, comme l'attestent les transactions pour le compte d'entreprises qui entendent se protéger sur les marchés [url=http://www.1855sacramento.com/moncler.php]moncler outlet[/url] à terme réglementés contre les variations des cours. Enfin, la gestion alternative tant montrée du doigt - le capital-investissement ou les fonds spéculatifs - [url=http://www.hollisterhanesmorgan.co.uk]hollister uk[/url] n'a pas [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister[/url] joué de r?le moteur dans la crise des subprimes comme dans celle de l'euro. Trois exemples qui reviennent comme un leitmotiv, quel que soit l'interlocuteur.
Dans le cadre du nécessaire assainissement, , l'un des caciques du , propose de créer un musée de la finance, à l'instar de et de Francfort : "Il s'agira d' à un large public les bienfaits et les défauts du capitalisme financier."
Mais, au cours des années 1990, la finance a explosé, bombardée sur écrans à grands jets de chromos : cité [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister[/url] à risques [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich outlet[/url] pour jeunes gens appuyant sur l'accélérateur sans ceinture de sécurité. Les [url=http://www13.plala.or.jp/gakuki3/cgi_bin/aska/aska.cgi]moncler sito ufficiale Le pat[/url] banques universelles attrape-tout ont enflé. Les primes de [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] fin d'année se sont envolées dans un environnement de concurrence sauvage. Il y a eu urgence à les risques les plus fous.
"Il existe une sorte d'accord tacite consistant à le dos rond et à se . Nous sommes inaudibles actuellement. Le débat est totalement émotif" : entre claques organisées et baffes à répétition, cette explication fleurit dans les salles de marchés. Un autre grand banquier utilise une comparaison avec l'art du placement pour défendre le b?illon collectif : "L'ABC de l'investissement est de ne jamais d'argent quand un marché baisse. On attend le début d'un retournement pour [url=http://www.guimall.net/home.php?mod=space&uid=52970][/url] le mouvement. Il en est de même avec les ."
Cette grève de la parole, en fait, donne du grain à au camp adverse et produit l'effet contraire à celui recherché. Les "indignés" anticapitalistes, qui ont planté leur tente sur le parvis de la cathédrale Saint-Paul, dominent l'agenda médiatique. Ils ont trouvé en renfort des banquiers repentis bourrés de remords, pour qui la City fomente les pires complots et cultive les plus noirs desseins.
Le 27 octobre 1986, la première place boursière européenne avait tiré définitivement un trait sur son passé de "club", ses us et coutumes, ses privilèges. Les mastodontes bancaires étrangers n'avaient fait qu'une bouchée des firmes de courtage britanniques, privées du jour au lendemain de leur rente de situation. La profession de banquier d'affaires engagé dans la spirale des privatisations, des fusions-acquisitions et de levée de capitaux, était alors plut?t bien vue. Les rémunérations étaient confortables sans être excessives, et le de vie discret et pas tapageur pour un [url=http://hccweb6.bai.ne.jp/nyanji/cgi-bin/aska.cgi]barbour uk La fusion devrait [/url] penny.
La City vit un drame antique ! Les banquiers sont devenus muets. Dans , la gent financière pratique la de la chaise vide. La BBC s'arrache les cheveux pour un gros ponte prêt à défendre les couleurs de la profession. Les hiérarques sont aux abonnés absents. Les seigneurs de l'argent ont visiblement pris la clé des champs, prétextant un agenda surchargé.
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Hélas ! Trois fois hélas ! les préjugés ont la vie dure, se plaignent les opérateurs. La banque de dép?t, de nos jours, serait-elle mise sur un piédestal ? [url=http://www.ilyav.com/uggpascher.php]ugg pas cher[/url] Les prêts aux particuliers ou aux ne sont pas exempts de risques, loin de là.
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Pour , historien, auteur de City of London : (paru le 3 novembre, non traduit), la place financière ayant survécu à la crise de 2007-2008 est à la croisée des chemins. Pour prospérer face à l'hostilité du public, des réformes urgentes sont nécessaires : "Il faut pour cela une volonté politique irrévocable faute de quoi le monde financier risque à nouveau de de fortes turbulences."
La spéculation est devenue reine, alors que les scandales et les conflits d'intérêts ont fait florès. Après l'humiliation de la sortie du sterling du système monétaire européen sous les coups de boutoir du spéculateur lors du "mercredi noir" de 1992, les élites politiques, de gauche comme de droite, ont évité à tout prix tout conflit avec la City. Avec les résultats catastrophiques que nous connaissons aujourd'hui...