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L'administration songe à des caméras de vidéosurveillance à l'arrêt de bus ainsi qu'un portail automatique à l'entrée de l'établissement. Cette est digne [url=http://www.teatrodeoro.com/hollisterde.php]hollister deutschland[/url] de la surenchère sécuritaire à laquelle nous assistons ces temps-ci. Dès qu'il y a une agression, même hors du lycée, on met directement en place les mesures les plus répressives possibles, alors même que leur efficacité reste à . Les caméras ont en plus une dimension liberticide : on est surveillé, épié... Mais aucun travail de fond n'est fait.
Violence à l'école, info ou intox ? Je pense qu'elle est réelle mais pas omniprésente, elle ne concerne pas tous les établissements, les lycées de -ville et les lycées privés ne sont, par exemple, que peu concernés. Dans la catégorie des lycées "moyens", il faut que nous ne sommes pas dans des zones de non-droit où il faut é et accompagné. Les lycées "difficiles" concentrent l'essentiel des problèmes, et là aussi, ils sont parfois exagérés.
Les établissements scolaires, avant d'être des lieux d'enseignement, sont des lieux de vie. Et pourtant, en communauté n'est pas facile [url=http://www.jeremyparendt.com/Hollister-b5.php]hollister france[/url] dans le sens où les particularités de chacun ne sont pas forcément acceptées de tous. Par exemple, je suis un gar?on homosexuel. Apparemment, cela fait de moi quelqu'un qui ne mérite pas l'amitié de certains, ni même un simple regard. J'entends des moqueries, des insinuations douteuses voire des insultes que je qualifie d'homophobes. C'est ni plus ni moins de la violence verbale et psychologique.
Les mesures prises par mon établissement consistaient à l'élève à deux reprises en cas de bagarre. Au troisième avertissement, celui-ci devait être expulsé de l'établissement, mais seuls les élèves qui s'en prenaient aux professeurs se voyaient réellement expulsés, une à deux semaines le plus souvent.
ne fait absolument pas partie de ma vie quotidienne. Je ne nie pas la présence d'un petit réseau [url=http://www.giuseppezanottipaschere.com]giuseppe zanotti sneakers[/url] de revente de drogue devant le lycée, mais il n'y a pas là de quoi la une des journaux télévisés, cela a toujours existé.
Il ne s'agit pas de dans l'angélisme, mais avant d' avec des caméras et des barbelés pour "sanctuariser" les lycées, l'école va peut-être se la question des normes comportementales qu'elle inflige aux classes populaires, et de l'injustice persistante du système scolaire, qui trie encore, avec ses propres critères, les élèves selon leurs [url=http://ilms-saga.jp/cgi-def/admin/C-002/notice-board/visit/main.pl?PAGE_NUM=1%2525255Dfarmville]barbour online shop The Most [/url] origines sociales...
Au collège, il y avait des "ca?ds". Si on ne leur obéissait pas, ils pouvaient vous . Les élèves ne sentent pas qu'ils préparent leur au collège, ils font ce [url=http://cgi.ebay.co.uk/ws/eBayISAPI.dll?ViewItem&item=390331089734&ssPageName=STRK:MESE:IT]barbour deutschland Symptoms [/url] qu'ils veulent et certains se b?tissent une réputation de ca?d, seule manière pour eux de se . Quand [url=http://www.jeremyparendt.com/Barbour-Paris.php]barbour france paris[/url] je suis entré au lycée, je les ai souvent vus d'attitude, ils sont beaucoup moins violents car à ce moment-là on nous propose de véritables issues professionnelles, ils sont donc plus sérieux.
Je suis lycéen en terminale ES (économique et sociale) dans un lycée publique du Marais. Bien que situé dans le 4e arrondissement de Paris, plus d'un tiers des élèves sont boursiers et la mixité sociale est très présente. Ce [url=http://www.thehygienerevolution.com/hollister.php]hollister[/url] qui m'a choqué, à mon arrivée en seconde, ce n'est pas la violence [url=http://www.osterblade.com]moncler outlet[/url] , quasiment inexistante, mais la violence psychologique, le harcèlement, les "vannes" et les insultes gratuites, extrêmement violentes et blessantes.
Et même s'il est vrai que mon lycée est loin de partie d'une ZEP (zone d'éducation prioritaire), je ne pense pas que la violence dans les milieux scolaires ait besoin d'une telle médiatisation. Il me semble qu'il serait plus intelligent de privilégier l'éducation à la sécurité. Une "surprotection" des milieux scolaires ne ferait que [url=http://www.par5club.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] déplacer la violence là où elle est beaucoup moins visible et pourtant beaucoup plus fréquente : la rue.
En tant que collégien, j'ai beaucoup lutté contre la violence au sein d'une association. Cependant, l'hypermédiatisation actuelle et le fait que le gouvernement souffle sur les braises entra?nent une vision disproportionnée de la situation. La violence reste marginale et, on le voit, se concentre principalement dans les . Arrêtons les mesures hypersécuritaires (portiques, caméras), pourquoi pas une fouille au corps systématique tant qu'on y est ?
Des études britanniques ont récemment montré que la vidéosurveillance était inefficace. Les portiques n'ont pas empêché les attentats dans les avions, et ils ne peuvent qu' le malaise : les jeunes des banlieues sont-ils des terroristes ? Et comment en place toutes ces mesures alors qu'un fonctionnaire sur deux n'est pas remplacé ? Il faudrait y plus [url=http://www.osterblade.com]moncler sito ufficiale[/url] de moyens : créer des postes d'enseignants et de surveillants correctement formés (arrêtons la suppression des IUFM), en place le "plan Marshall" pour les banlieues et développer l'instruction civique.
Le problème de la [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] violence à l'école est autant celui de l'évolution de la violence dans les établissements scolaires que celui de l'appréhension, par les acteurs du monde éducatif, de ce qu'est un acte violent, et celui de son traitement médiatique. Etant professeur, j'ai pu [url=http://www.gz100.org/wygkcn_GuestBook.asp]hollister[/url] être confronté à un public scolaire "difficile", et dont la fa?on de s' m'a parfois choqué. Mais j'ai bien été obligé d' ce que j'estimais être des comportements anormaux, et donc de mes propres normes. Les professeurs, comme les autres acteurs de l'éducation, vont bien être obligés d' qu'ils ne sont plus dans Le : le temps de l'écolier bourgeois et poli, s'il a déjà existé, n'est plus. Et ce n'est pas forcément une mauvaise chose !
Il faudrait peut-être nous davantage ce que l'on peut plus tard. Au cours de mes années collège, je n'ai passé que deux, trois heures au CDI (centre de documentation et d'information) pour les études à afin d' un métier qui me tient à c?ur. Il faudrait ce nombre d'heures pour nous par rapport à notre .
Durant mes quatre années au collège, je fus trop souvent confronté à la violence. Dans la plupart des cas, c'était une violence gratuite comme un coup par derrière pour qui est le patron de la cour de récréation. Ces actes restent souvent impunis. L'élève s'en tire avec un simple rappel à l'ordre et on [url=http://www.jeremyparendt.com/Hollister-b5.php]hollister[/url] félicite la victime de ne pas être "entrée dans le jeu" en se défendant.
Je suis lycéen dans un établissement que je classerais comme "moyen". Or pour face à la violence, on ne nous propose que des solutions répressives : caméras, ... L'efficacité de ces mesures, mais aussi leur utilité, reste à .
L'ambiance reste plut?t bonne mais certains élèves n'hésitent pas à une personne pour cible et s'acharnent dessus toute l'année. "Pédé", "salope", "tarlouze", remplacent votre nom et des phrases blessantes, comme "suicide toi, comme ?a on aura tous notre bac", sont fréquentes.
Mon lycée est situé dans une ville d'environ 5 600 personnes. Il a pour réputation d'être calme, à quelques exceptions près. Le lycée a récemment porté plainte pour deux incidents. D'une part, des majeurs auraient pénétré dans l'enceinte du lycée sans y être autorisés pour des élèves. Cela dit, les anciens élèves au "BCBG" n'ont jamais aucune difficulté à pour leurs anciens amis. D'autre part, des violences ont eu lieu dans un bus [url=http://www.thehygienerevolution.com/hollister.php]hollister france[/url] scolaire. Après lancé des pétards, des jeunes s'en sont pris au chauffeur et l'ont blessé.
Les mouvements lycéens sont là pour notre voix, mais si vous n'y participez pas, vous êtes qualifié de l?che, de fils à papa... Tout se joue sur votre estime : les gens [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin[/url] qui veulent vous préjudice font des bruits pour . Or personne ne nous dit comment réagir, personne ne nous parle de l'homosexualité, des et de tous les autres sujets tabous d'aujourd'hui.