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Ce que craignent sans doute les économistes du FMI aujourd'hui, c'est que la [url=http://bdaq.com/blogs.php?action=show_member_blog&ownerID=868]barbour paris La fin de la campagne[/url] poursuite - même dans un pays comme l', dont la croissance est certes en berne mais le budget à l'équilibre - et la généralisation de l'austérité [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister[/url] et de la consolidation budgétaire dans le contexte global actuel ne conduisent tout simplement [url=http://www.gotprintsigns.com/monclerpascher/]moncler[/url] le monde vers une récession de grande ampleur...
Contrairement à ceux qui affirment que la "faute" de l'austérité est essentiellement imputable aux [url=http://www.davidhabchy.com]barbour sale[/url] technocrates de tous poils, aux économistes et à tous [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour[/url] les idéologues, nous préférons considérer que cette volonté de rigueur correspond bien à une doxa qui pr?ne le retour à l'équilibre des finances publiques comme condition d'un retour à la croissance. Alors que l'on peut tout aussi bien considérer qu'à l'inverse, c'est le retour à la croissance qui permet de rétablir [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] les publiques...
Il a été produit par l'économiste en chef du Fonds, le Fran?ais , et par , un autre collaborateur du FMI qui suit à la loupe l'évolution des perspectives de [url=http://www.gotprintsigns.com/hollisterpascher/‎]hollister paris[/url] l'économie mondiale. Ce texte est intitulé "Erreurs de prévisions de croissance et multiplicateurs budgétaires" ( Errors and , FMI, no 2013/1, janvier 2013).
Dans leur document de travail, Olivier Blanchard et Daniel Leigh, considérant qu'ils avaient retenu jusqu'ici un multiplicateur égal à 0,5, suggèrent, au vu des statistiques effectives de la croissance, que ce multiplicateur était sous-estimé et probablement supérieur à 1.
Que concluent les deux économistes du FMI ? D'abord, de fa?on humble, qu'"il n'y a pas un seul multiplicateur en tout temps et pour tous les pays" et que "les multiplicateurs peuvent être plus ou moins élevés au cours du temps et d'une économie à l'autre". Ensuite, qu'"il semble prudent, pour le moment, lorsque l'on pense à la consolidation budgétaire, de que les multiplicateurs sont plus élevés qu'avant la crise". Enfin, que leurs résultats "ne signifient pas que la consolidation budgétaire n'est pas souhaitable".
( également, sur le même [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey[/url] sujet, , de ).
Si l'on [url=http://www.ilyav.com/uggpascher.php]ugg pas cher[/url] admet que l'atténuation, voire la fin des politiques d'austérité ne peuvent plus être écartées raisonnablement, deux questions se posent alors immédiatement.
Il faut ici que le principe, très keynésien, du "multiplicateur budgétaire" établit qu'un euro dépensé ou économisé par un acteur public génère une augmentation ou une perte de revenu pour l'économie nationale concernée qui peut être supérieure ou inférieure, selon la valeur dudit multiplicateur, au montant de la dépense ou de l'économie publique. Ainsi, dans le cas d'une baisse de la dépense publique d'un euro, un multiplicateur supérieur à 1 suggère un repli du revenu national supérieur à un euro.
En cela, le [url=http://www.1855sacramento.com/moncler.php]moncler outlet[/url] premier est fidèle à ce qu'il déclarait déjà au quotidien économique La Tribune le 24 mai 2010, à que "le risque est en effet que, sous la pression des marchés, certains pays fassent du zèle dans l'austérité. Ce serait une erreur". Et manifestement, ce [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister[/url] scénario s'est effectivement réalisé ; le zèle l'a emporté et il serait exagéré d'en la faute, aujourd'hui, aux (seuls) économistes du FMI.
Et les deux économistes de les travaux de leurs collègues et (2012), tous deux de l'université californienne de Berkeley, effectués sur des données américaines, qui situent ce multiplicateur entre zéro en temps "normal" et environ... 2,5 en période de récession.
En tentant de un peu de recul, on peut considérer que, effectivement, les économistes du FMI ont sous-estimé de fa?on significative l'augmentation du ch?mage et la baisse de la demande intérieure associées à la "consolidation fiscale".
Car désigner "la gestion désastreuse des finances publiques depuis trente ou quarante ans" pour les politiques d'austérité est tout simplement fallacieux, puisque le surendettement actuel (et non pas l'endettement) des Etats est entièrement d? aux conséquences directes de la .
Leur modèle n'a pas davantage correctement prévu l'effet de l'austérité dès lors que, les taux d'intérêt étant déjà proches de zéro, les ménages comme les adopteraient le même comportement de désendettement que celui des Etats.
Pour [url=http://yunfu.edugd.cn/yfhx/E_GuestBook.asp]hollister[/url] autant, comme on vient de le , Olivier Blanchard et David Leigh ne proposent en rien de aux [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php]giuseppe zanotti pas cher[/url] politiques de consolidation budgétaire, mais suggèrent de les en oeuvre... avec discernement.
La première est : comment la croissance ? La seconde, non moins redoutable, est : comment la remise en question de l'austérité aux catégories sociales qui ont su de la crise ? Car force est de , en effet, que la crise s'est accompagnée d'un creusement des inégalités...
(FMI) a mis les économistes du monde entier ainsi que certains en état d'ébullition.
Dans ce rapport, Olivier Blanchard et Daniel Leigh admettent, non pas une erreur de calcul au sens strict, mais une difficile et sans doute mauvaise estimation du "multiplicateur budgétaire".
Nul doute que la réponse à ces deux interrogations passe par un nouveau modèle de développement, et [url=http://www.mansmanifesto.fr]doudoune moncler homme[/url] non par quelques mesures de soutien de la croissance. Et ce nouveau modèle de développement devra prévoir un [url=http://ilms-saga.jp/cgi-def/admin/C-002/notice-board/visit/main.pl?PAGE_NUM=1%2525255Dfarmville]hollister Le volcan islandais[/url] autre de redistribution des revenus visant à atténuer, voire à cette inquiétante montée des inégalités.