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S'il " n'ose [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] que c'est de la tactique ", le député des Alpes-Maritimes Jér?me Rivière, animateur de la Droite libre - l'un des clubs de l'UMP - pointe lui aussi le fait que " le gouvernement n'a pas tranché pour le "non" ". " Il faut les ambigu?tés ", lance-t-il, plaidant, comme les députés souverainistes (Essonne) et Jacques Myard (Yvelines), pour un référendum à l'UMP sur la question turque.
L'autre point de friction entre M. Chirac et sa majorité porte sur [url=http://www.move-grp.co.jp/p/postmail.cgi]woolrich outlet Men's Boost C[/url] la manière d' la future Constitution européenne : vote des députés et des sénateurs, ou consultation directe des Fran?ais ? [url=http://www.teatrodeoro.com/hollisterde.php]www.teatrodeoro.com/hollisterde.php[/url] Sur ce terrain, le chef de l'Etat doit face à une majorité divisée. L'UDF, proeuropéenne, et le MPF, antieuropéen, réclament un référendum. " On ne peut pas une Constitution aux citoyens et aux Etats européens sans que les peuples aient été consultés ", a lancé M. Bayrou, mercredi 28 avril.
C'est aussi le discours d'une partie de l'UMP : les souverainistes, mais aussi nombre de proeuropéens et non des moindres - M. Juppé et le premier ministre, Jean-Pierre Raffarin, ont eu l'occasion de s' en ce sens -, qui se disent renforcés par le choix fait par Tony Blair de le peuple en Grande-.
Petit bémol à cette large opposition : la délégation pour l'Union européenne du Sénat a adopté, mercredi 28 avril, un rapport de [url=http://jukucho.dyndns.biz/cgi-bin/joyful/joyful.cgi/a+inurl:/joyful.cgi%3C/a%3E]hollister outlet sale Why Glo[/url] Robert Del Picchia (UMP) qui se prononce pour l'ouverture de négociations d'adhésion avec la Turquie. " Dès lors que la Turquie répondrait [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]www.mxitcms.com/abercrombie/[/url] aux exigences européennes et respecterait pleinement ses valeurs, pourquoi de lui la main ", note l'auteur du rapport, pour qui " le bilan des réformes effectuées est impressionnant ".
La question turque est la plus symptomatique. M. Chirac a toujours laissé qu'il était favorable à l'entrée de la Turquie dans l' [url=http://www.corsodiesperanto.it/moncleroutlet/]moncler outlet[/url] (UE). Mais il n'a plus de relais politiques. L'UDF de et le Mouvement pour la France (MPF) de Philippe de Villiers sont de longue date opposés à cette perspective. Et, depuis le 7 avril et l'intervention de son président, Alain Juppé, l' affiche, elle aussi, son hostilité à cette entrée.
Dans les rangs mêmes de l'UMP, les interrogations ne manquent pas quant à la solidité de la position. Certains n'écartent pas l'idée d'un positionnement tactique, le temps des européennes, afin de l'éparpillement des voix à droite au profit de l'UDF, du MPF, ou du .
Cette prise de position du parti chiraquien, à l'amorce de la campagne pour les élections européennes du 13 juin, n'a pas totalement convaincu. " Il y a un double jeu du parti gouvernemental qui dit "non" alors que le gouvernement continue à "oui" ", a dénoncé, mercredi 28 avril, M. Bayrou en lan?ant la campagne européenne de l'UDF. Le 18 avril dans un entretien au Journal du dimanche, M. de Villiers est allé jusqu'à que " a position de l'UMP est très simple : avant le 13 juin, c'est "non" à la Turquie ; et le 14 au matin, ce sera "oui"".
"LEVER LES AMBIGU?T?S "
"L'explication [url=http://www.corsodiesperanto.it/peuterey.php]www.corsodiesperanto.it/peuterey.php[/url] officielle à propos de cette différence avec M. Chirac, c'est : "lui c'est lui, nous c'est nous" ", raconte le député des Deux-Sèvres Dominique Paillé, qui convient qu'il s'agit d' " une position difficile à , d'autant que l'on va : "Ils nous font la danse du ventre pour mieux nous ensuite"".
" Si nous ne sommes pas nets maintenant sur cette question, cela empoisonnera toute la campagne européenne ", admet le député de Savoie Dominique Dord, aux yeux de qui " la position claire et acceptable est de qu'à court et moyen terme, [url=http://bbs.qnlm.com/home.php?mod=space&uid=307781][/url] il n'est pas question d'adhésion de la Turquie ".
, Jacques Chirac sait qu'il doit se à droite. Car entre la question de [url=http://www.par5club.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] l'adhésion de la et celle de l'adoption de la future , le moins que l'on [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin[/url] puisse , c'est que le chef de l'Etat et la majorité n'évoluent pas [url=http://www.jeremyparendt.com/Barbour-Paris.php]barbour france paris[/url] sur la même longueur d'onde.
L'Europe et les divisions à droite, le sujet n'est nouveau pour M. Chirac. Il a même un arrière-go?t amer. En 1999, les élections européennes s'étaient soldées par une crise au RPR. En pleine campagne, Philippe Séguin avait démissionné de la présidence du parti chiraquien et abandonné la tête de liste pour les élections à . Celui-ci avait été devancé non seulement par le PS, mais aussi par M. de Villiers, associé alors à .
Mais à l'UMP, la crainte est forte d', avec un référendum, un nouveau prétexte à un vote-sanction à l'encontre du gouvernement. D'où l'idée de se [url=http://www.par5club.com/louboutin.php]louboutin[/url] d'un vote du Parlement réuni en Congrès, quitte à l' en même temps que les Allemands, qui [url=http://www.shewyne.com/woolrichoutlet.html]woolrich sito ufficiale[/url] ont choisi cette voie. " Le risque est réel [url=http://www.riad-marrakesh.fr]abercrombie pas cher[/url] que la réponse des Fran?ais porte sur une [url=http://www.corsodiesperanto.it/woolrich.php]www.corsodiesperanto.it/woolrich.php[/url] question qui n'a rien à avec celle posée et je ne sais pas s'il faut le ", explique M. Dord. " C'est un risque raisonnable et positif que l'on aurait raison de prendre", a pour sa part tranché l'ancien président de la République Valéry Giscard d'Estaing, dans un entretien à La Montagne, le 25 avril.