gkjkeg73ly
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Posted: Fri 9:59, 13 Sep 2013 Post subject: hollister outlet sale Quels sont les enjeux des n |
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Un mois après, le collège des commissaires européens donne son feu vert au lancement des négociations avec les Etats-Unis. D'emblée, le commissaire européen au commerce, Karel De Gucht, se veut rassurant sur des sujets sensibles comme les OGM ou la : "Il y a toujours des craintes et des rumeurs qui circulent. Je voudrais le cou à certaines rumeurs."
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Selon une étude réalisée par le centre [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] de recherche londonien for Research publiée mi-mars, un tel accord de libre-échange rapporterait environ 119 milliards d'euros par an au et environ 95 milliards d'euros par an pour les Etats-Unis.
Pour les deux blocs, cet accord serait le bienvenu en cette période de crise. "C'est le plan de relance le moins co?teux qu'on puisse imaginer", déclarait début mars M. De Guch, ajoutant qu'un tel accord créerait des "centaines de [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich parka[/url] milliers" d'emplois en Europe. De son c?té, se réjouissait déjà lors de son discours sur [url=http://www.achbanker.com/home.php]www.achbanker.com/home.php[/url] l'état de l'Union, affirmant qu'"un commerce libre et équitable de part et d'autre de l'Atlantique soutiendra des millions d'emplois américains bien [url=http://www.jiuqian.org/uchome/space.php?uid=4468&do=blog&id=1924]hollister outlet sale Les défis économiques du n[/url] payés".
Cela pèsera-t-il sur la suite ? La question divise les experts interrogés par l'AFP. "Les gouvernements de l'UE se doivent de qu'ils s'opposent un peu aux Etats-Unis mais cela n'aura pas d'effet à long terme sur l'accord", assure Joshua Meltzer, de la Brookings Institution. A l'inverse, Gary Hufbauer, chercheur au Peterson Institute, prédit désormais de "grosses frictions" sur les de données personnelles, et notamment bancaires. "Cette [url=http://www.par5club.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] affaire risque de na?tre de nouvelles barrières", ajoute-t-il.
Stratégique aussi pour l'UE dont les Etats-Unis sont le premier partenaire commercial. En 2011, les échanges commerciaux entre les 27 et les Etats-Unis se sont élevés à près de 449 milliards d'euros en 2012. Ensemble, les deux blocs pèsent pour 40 % du commerce mondial. Les Etats-Unis sont le premier investisseur dans l'Hexagone mais aussi le premier client de la France hors .
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Deux mois plus tard, la ministre du commerce extérieur insistait de nouveau sur le sujet, soulignant que l'exception culturelle demeurait la "ligne rouge" pour la France, avant de que sur le plan agroalimentaire, , deux pratiques en vigueur aux Etats-Unis, n'étaient "pas négociables".
Or ces règles traduisent aussi bien des choix culturels et sociaux que des rapports de force économiques. C'est dire combien il [url=http://www.par5club.com/louboutin.php]louboutin[/url] est stratégique pour les Etats-Unis de composer un corpus de [url=http://www.eastscotinvest.co.uk/mulberry.html]mulberry sale[/url] règles communes avec un maximum d'Etats pour pouvoir les opposer à la .
En revanche, il existe une barrière qui pourrait être levée au plus grand bénéfice du commerce : les législations. Pour protéger le consommateur, l'environnement, la santé, le droit d'auteur ou l'épargnant, elles ont foisonné. Désormais, faciliter le [url=http://xlaipp.zzxx.in/thread-10394-1-1.html]hollister pas cher Same Day Cash Advance Will Save The Day[/url] commerce entre deux puissances veut dire leur faire appliquer les mêmes règles de précaution pour les poupées, les crevettes ou les produits financiers.
Le processus a surtout vacillé sous l'effet des révélations sur l'espionnage de bureaux de l'UE par les Etats-Unis. Face au tollé, Paris a menacé de "temporairement" les discussions avant de se à la solution pr?née par Berlin de les travaux, mais d' en parallèle des "clarifications" de Washington.
On n'en est plus à négocier les droits de douane pour bloquer les importations ou pour favoriser les produits amis. D'ailleurs, entre l'Union européenne et des Etats-Unis, il n'y a plus grand-chose [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk[/url] à dicuter en la matière, puisque leurs droits de douane moyens [url=http://www.davidhabchy.com]barbour sale[/url] n'excèdent pas 3 %.
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A la veille du lancement formel des négociations, Paris a abattu sa dernière [url=http://www.mansmanifesto.com]doudoune moncler homme[/url] carte pour que l'audiovisuel en soit exclu. Au terme d'une intense bataille, la France a obtenu à la mi-juin [url=http://www.xxjszj.com/ask/question.php?qid=62331]ヴァレンティノ[/url] que le secteur [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] audiovisuel soit exclu des discussions, au prix d'un bras de fer avec la Commission européenne.
Barack Obama choisit , [url=http://www.materialistanyces.com]louboutin[/url] en février, pour officiellement la main aux Européens, en annon?ant le lancement des négociations. Loin d'être une surprise, ce [url=http://www.mansmanifesto.com]doudoune moncler[/url] signal était toutefois , et particulièrement Berlin, qui avait appelé quelques semaines auparavant à accélérer le processus, contrairement à .
Une prudence qui porte la marque des échecs passés. Par crainte que l'Union européenne ne soit obligée à des concessions sur le commerce agricole, le gouvernement de (PS) avait déjà bloqué un projet d'accord transatlantique en 1998. Puis, en 2001, les deux blocs entament de nouvelles négociations à l'occasion du cycle de Doha, sous l'égide de l'Organisation mondiale du commerce, qui se soldent trois ans plus tard par un autre échec.
Les points d'achoppement connus aujourd'hui entre les deux blocs concernent principalement deux secteurs : la culture et l'agroalimentaire. Et la France tient non seulement à le , mais aussi à se au nom de l'exception culturelle. Fin février, Paris se disait "favorable dans le principe" à un accord de libre-échange avec les Etats-Unis, "mais dans le respect de la agricole commune et de l'exception culturelle fran?aise".
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Les négociations entre les Etats-Unis et l' sur un accord de libre-échange s'ouvrent lundi 8 juillet à Washington dans un alourdi par les révélations sur l'espionnage américain et le chiffon rouge agité par la France sur l'exception culturelle. Tour d'horizon sur les enjeux d'un tel accord.
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