qdnto15z
Joined: 31 Jul 2013
Posts: 8863
Read: 0 topics
Warns: 0/5 Location: England
|
Posted: Wed 10:15, 18 Sep 2013 Post subject: hollister pas cher Succession à la tête de |
|
|
Peu à peu, la rumeur devient trop insistante pour ne pas de fondement : c'est lui que M. Obama veut .
Ainsi, en 1998, [url=http://www.getconversational.com]hollister pas cher[/url] le hedge fund sombre. C'est le premier cas de risque systémique issu des produits dérivés de dette. Mais un an plus tard, M. Summers, secrétaire au Trésor, lance la dérégulation de ces mêmes produits financiers - mise au point avec , futur PDG de [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich bologna[/url] Citigroup. C'est donc un [url=http://www.otsu.ed.jp/ktt-e/bbs/bbs.cgi/bbs.cgi%2Bresult:%2Bchosen%2Bn%253C/bbs.cgi%253E]ugg pas cher A Cerda, invente[/url] démocrate qui scelle la mort du , la symbolique loi bancaire instaurée [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey[/url] en 1933, lors du du président Roosevelt.
M. Obama, pour la main, déclare alors qu'il n'y a pas "que" deux candidats. "Don Kohn, par exemple", un ex-numéro deux de la Fed avant Mme Yellen, "ferait aussi" un excellent président. Peu y croient, mais allez . Si la bataille Yellen-Summers s'envenimait, il ne faudrait pas alors [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister[/url] que la décision ultime du président le prive de trop de soutiens (même s'il est en second mandat). Parfois une candidature venue de nulle part permet d'éviter de entre deux clans qu'on veut par ailleurs ménager.
Finalement, il est assez peu question des problèmes que devrait un futur président de la Fed, à un moment où les Etats-Unis et l' semblent mollement et où les pays émergents voient leur croissance s'.
Certains de ces produits (les dérivés de titres hypothécaires dits "subprimes") seront à l'origine de l'effondrement financier de 2008. Jusqu'à ce jour, M. Summers porte ce fardeau-là, au point qu'il a renoncé à s'en . Que passe l'histoire...
Janet Yellen n'a ni "la poigne nécessaire" ni l'expérience politique pour les turbulences à , internationales et intérieures (pas un jour aux Etats-Unis sans nouveau scandale financier), susurrent les [url=http://122.226.141.46:9988/showtopic-251375.aspx][/url] pro-Summers. Ce dernier, disent ses adversaires, est "trop lié à ".
C'est alors le début des polémiques, qui virent vite à l'aigre. Des camps se forment, les attaques fusent.
Les candidats sont nombreux et le président consulte. [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister[/url] Telle est l'équation apparente. Mais il y a une autre fa?on de la : M. Obama a fait son choix. La question est alors de s'il parviendra à sa solution, ce qui n'a rien d'évident. Quoi qu'il en soit, l'Amérique et financière se passionne pour ce feuilleton.
Mais l'entourage du président, hormis quelques femmes, plaide pour . Et M. Obama a lui-même récemment dénoncé les attaques "sans raison" contre son ex-conseiller, les comparant à celles qui avaient "enrayé" la désignation de son amie au département d'Etat. Sa préférence est donc claire. Mais il veut s'épargner un nouvel échec. Verdict vraisemblable fin septembre.
M. Obama pourra-t-il désigner un homme [url=http://www.getconversational.com]hollister france[/url] qui, dans son propre camp, suscite un tel rejet ? Par ailleurs, une fois présenté au Congrès, M. Summers serait certainement "cuisiné" sur ses liens avec Citigroup : les élus démocrates appuient massivement la candidature de Mme Yellen, qui a par ailleurs le soutien des universitaires et de la direction du New York Times.
LES ATTAQUES FUSENT
Aucun des candidats ne se risque à un programme. Mme Yellen comme M. Summers disent une régulation accrue de la finance et l'. A défaut de grandes différences, restent les personnalités, les parcours, les soutiens. Une joute cruellement résumée [url=http://demo1.phpdb.net/1007/news/html/?3146.html]hollister france Nikita – Le retour de la femme qui tue Le Monde Des Séries[/url] par , du Times. Cela donne : "Un choix entre quelqu'un qu'on conna?t peu et quelqu'un en qui on n'a pas confiance."
APP?TENCE POUR L'ARGENT
Depuis qu'il a quitté la , en 2011, M. Summers a été rémunéré par Citigroup et le fonds spéculatif D. E. Shaw. des financiers de son carnet d'adresses, il l'avait déjà fait après que des propos jugés sexistes l'avaient amené à démissionner de la présidence de l'université d'Harvard. Les tarifs de ses conseils sont parmi les plus élevés et ses conférences en cercles clos sont facturées plus de 100 000 dollars (75 000 euros). En 2008, ses discours sur invitation lui ont rapporté 2,7 millions de dollars. Sa richesse est estimée de 7 à 30 millions de dollars.
"LARRY SUMMERS, "MISTER DEREGULATION""
Avant de résoudre l'équation, il faudrait en conna?tre les données. Après deux mandats, Bernanke, le président de la Réserve fédérale américaine (Fed, banque centrale américaine), devrait la prestigieuse institution monétaire le 1er janvier. Il revient à de son successeur.
"D'?NORMES INCERTITUDES, DE LOURDS D?FIS"
Au départ, semble bien placée. Le fait qu'aucune femme n'ait occupé le poste et qu'elle soit par ailleurs déjà vice-présidente de la Fed lui donne deux points d'avance. Avec son cursus en béton, elle para?t aussi la faveur de M. Bernanke.
Mais, paradoxe américain en ces temps d'après-crise, plus que sa personnalité ou ses errements, son principal handicap est peut-être son appétence pour l'argent.
Reste qu'elle est femme, ce qui la sert, qu'elle a une compétence reconnue, une expérience de vingt ans de la chose publique. Et elle a un autre atout : universitaire, elle est peu liée aux milieux qu'elle devra , la finance. Pas de risque de conflit d'intérêts de son c?té.
Or, en termes de réseaux financiers, M. Summers écrabouille la concurrence. C'est sa force, cela pourrait être sa grande faiblesse : trop d'amis, trop de soutiens. Et puis la rumeur enfle. Il est "l'homme des banquiers", entend-on. Il a tant frayé avec eux que l'accusation de "conflits d'intérêts", s'ajoutant à quelques "casseroles", plane sur sa nomination.
Car Mme Yellen, à force de préserver l' par le silence, appara?t sans aspérité mais sans volume. C'est simple : à la Fed, depuis le début de la crise, elle a toujours voté comme son chef... En 2010, auditionnée par le Congrès, elle avait admis : "Je n'ai ni vu ni compris les risques liés à la titrisation, aux agences de notation, à la "banque de l'ombre", aux dérivés, je n'ai rien vu jusqu'à ce que ?a arrive." "?a", c'est la crise de 2008. Mais, rétorquent ses partisans : qui, parmi les régulateurs, s'en aper?ut alors ?
En septembre 2012, Bloomberg Markets annonce sans l'ombre d'un doute que si M. Obama [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey outlet[/url] est réélu, elle héritera de la présidence. Mais, il y a six mois, un autre nom émerge. Il ne surprend personne : Lawrence (Larry) Summers. Ce dernier fut le premier économique de M. Obama. Question curriculum, personne ne fait mieux : origines [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] académiques nobiliaires (deux [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin[/url] oncles d'économie), [url=http://www.ilyav.com/uggpascher.php]ugg pas cher[/url] ministre, président d'Harvard, des plus puissants financiers. Il est considéré comme le Kissinger (ex-secrétaire d'Etat sous les présidences de et dans les années 1970) de l'économie financiarisée. Ajoutez à tout cela une ambition d'ogre, une confiance en lui qui frise la fatuité et une arrogance qui confine à la muflerie.
Mais est-ce un atout ? Le vieux banquier , ami des Clinton et mentor de M. Summers, a répondu : la [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] finance mondiale conna?t encore [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]www.vivid-host.com/barbour.htm[/url] "d'énormes incertitudes, de lourds défis". Autant quelqu'un qui en a une connaissance approfondie. Une "pure" économiste, suggèrent les anti-Yellen, sera dépassée.
Le 10 ao?t, une réaction inopinée a révélé combien sa nomination poserait problème. Sur , la chanteuse et actrice populaire s'est l?chée : "Larry Summers, "Mister Deregulation", celui qui a transformé des banques collets montés en casinos et leurs banquiers en proxénètes, à la tête de la Fed ? Pouah !"
The post has been approved 0 times
|
|