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L'acquisition d'une société suit un protocole bien réglé. Face à une [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] opportunité, acheteurs et vendeurs engagent des pourparlers sur les conditions de la [url=http://www.otsu.ed.jp/ktt-e/bbs/bbs.cgi/bbs.cgi%20Result:%20chosen%20nic%3Cbr%20/bbs.cgi]doudoune moncler homme Lautor[/url] transaction. Si ces discussions sont fructueuses, une lettre d'intention ouvre une période limitée de négociations avant la vente. L'acheteur est alors autorisé à des audits préalables d'acquisition ("due diligence") chez son vendeur. Le compromis final dépendra de ces investigations, parfois très [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php]giuseppe zanotti sneakers[/url] fouillées, [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey[/url] qui portent autant sur les données comptables que techniques (examen des brevets, des prototypes, des experts...). Si l'on ajoute que chaque partie peut s' de fa?on générale sur le comportement en affaires de son partenaire, on voit mal ce qui conduit à être si souvent dé?u après coup.
Interrogés, les professionnels rompus à ces opérations ont conscience du paradoxe, sans espérer y échapper. Ils acceptent les risques élevés de ces acquisitions en pariant que les compétences [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] nouvelles ainsi obtenues payeront les échecs. Quant aux entreprises innovantes, ne devraient-elles pas de cro?tre seules, si la logique d'acquisition est si déstabilisante ?
Mais sur le terrain, on est loin d'un échange marchand ordinaire : acheteurs et vendeurs obéissent à des logiques dissymétriques ; l'objet de la transaction n'est pas une marchandise, mais la prise de contr?le d'une entreprise. De fait, les vendeurs poursuivent deux objectifs parfois antagoniques : le meilleur prix, tout en obtenant des assurances sur le destin futur de la firme cédée ( des personnels, investissements à , maintien de certains dirigeants, etc.). Aussi s'efforcent-ils d'abord de sélectionner les acheteurs les plus dignes de confiance, les plus [url=http://www.hollisterhanesmorgan.co.uk]hollister[/url] sérieux ou partageant certains liens d'affaires (actionnaires communs par exemple). Tout au long des négociations, ils réévaluent cette confiance [url=http://www.mansmanifesto.fr/category/doudoune-moncler/‎]doudoune moncler[/url] en fonction du comportement [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister france[/url] des acheteurs, mais évitent d' des engagements précis qui pèseraient sur le compromis financier.
Les vendeurs accusent les acheteurs de leurs promesses lorsqu'ils arrivent aux commandes. Les acheteurs découvrent trop tard qu'ils avaient surestimé la pertinence de leur stratégie ou leur capacité à l'. Avec une grande finesse d'investigation, ce travail dé la profonde dissymétrie de ces transactions et [url=http://forums.theooze.com/discussion/118095/hollister-france-professional-practice-professional-plumbing-pipes-effectively]hollister france Professional Practice Professional Plumbing Pipes Effectively[/url] les pièges qui guettent les praticiens les plus avertis.
Reste que le malentendu na?t de l'idée que l'on vend une entreprise, alors que l'on ne [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour paris[/url] cède que des parts d'une société. Or dirigeants et actionnaires, vendeurs ou acheteurs, ne peuvent décider seuls du destin d'une compagnie. L'échec si fréquent des acquisitions est le prix de cette illusion.
Tout est en place pour un étrange paradoxe. L'acheteur, une fois installé, surprend par ses actions, qui provoquent le départ des meilleurs éléments ou la déstabilisation de l'entreprise. Reste que le vendeur aurait d? s'y ! Mais que pouvait-il ? Etre plus exigeant avant d' sa confiance ? Cela ne ferait qu' sa déception, car pourquoi l'acheteur lui dévoilerait-il sa future stratégie ? Se désintéresser de ce que fera celui-ci ? C'est un signal démotivant à son entreprise et l'inquiétude.
L'accord final résulte ainsi de deux jugements biaisés. Celui du vendeur qui, croyant la confiance acquise [url=http://www.davidhabchy.com]barbour sale[/url] et satisfait du prix obtenu, accepte les promesses sur l' de sa firme. Celui de l'acheteur, qui prépare une prise de contr?le toute différente et ne compte que [url=http://www.ztwxw.com/E_GuestBook.asp]tiffany Us[/url] sur sa capacité d'action.
pionnières explorent en effet concepts et techniques de rupture, puis cherchent à se à des firmes plus m?res qui soutiennent leur développement ou en attendent des capacités nouvelles d'innovation. Mais une étude menée aux Etats-Unis (Melissa E. Graebner, "Caveat Venditor : in Acquisitions of ", of , juin 2009) suggère que ces acquisitions conduisent trop souvent à de lourdes désillusions.
La position des acheteurs est [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]abercrombie[/url] toute autre. Peu préoccupés par la confiance à au vendeur, ils se reposent sur les investigations à pour éviter d'être trompés sur l'état de la société. Surtout, ils planifient, seuls, les actions à une [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] fois l'achat réalisé, car elles déterminent à leurs yeux la valeur [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] attendue de l'opération.