gkjkeg73ly
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Posted: Wed 21:16, 18 Sep 2013 Post subject: jordan pas cher Dans un contexte de crise, il devi |
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Un plan de départs volontaires peut co?ter un peu plus cher, mais il présente moins de contraintes juridiques que le licenciement économique, qui arrive généralement en ultime recours. Les salariés le savent d'ailleurs très bien : soit ils acceptent le plan de départs volontaires dans des [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] conditions qui seront sans [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich parka[/url] doute relativement avantageuses, soit ils résistent et prennent le risque de partie d'un plan de [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] licenciement économique plus tard, assorti de conditions moins avantageuses...
Les enquêtes internationales montrent que la France se placeen dernière position des pays européens en ce qui concernel'épanouissement au travail, la prise de décision, le degréd'autonomie, etc. Les Fran?ais ne se [url=http://www.zw258.com/viewthread.php?tid=6371&pid=7392&page=1&extra=page%3D1#pid7392]woolrich parka La salariée de PSA accusée davoir volé du matériel à 3 euros[/url] sentent pas bien dans leur emploi.Leur propension à un départ volontaire est bien plusimportante qu'ailleurs, et ce d'autant [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister[/url] plus qu'on a une protectionsociale plus développée que dans d'autres pays. La plupart des plans dedéparts volontaires en France se résolvent d'ailleurs très rapidement.
La conjoncture est une variable très importante de la réussite de ce genre de plan. La durée moyenne au ch?mage en France est légèrement inférieure à six mois. Mais dans un contexte de crise profonde et longue, on peut considérer que la durée au ch?mage va s' et qu'il devient risqué d' un départ volontaire. Le contexte actuel rend bien plus délicat la réussite de ce genre de plan.
Cette crainte de l' suffit-elle à qu'autant de salariés se portent volontaires pour leur quand l'occasion se présente ?
Les plans de départs volontaires se multiplient depuis le début de la crise. Quels "avantages" présentent-ils sur les licenciements secs ?
Il sera justement intéressant de qui accepte de . On peut par exemple qu'un salarié de 57 ans ait intérêt à avec un petit pactole et plusieurs mois de ch?mage pour jusqu'à la retraite. Des salariés plus jeunes, qui craignent un licenciement économique à , [url=http://49.4.160.229/school/forum.php?mod=viewthread&tid=191358]louboutin pas cher Ils rêvaient dAmérique[/url] peuvent également se qu'il vaut mieux maintenant dans des conditions qui leur laissent le temps de se . Mais l'intérêt est bien moins évident vers 45 ans, quand il est plus délicat de refaire sa vie. Dans ces cas-là, il peut y des incitations plus ou moins réglementaires, des pressions...
Les ne prennent-elles pas [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey[/url] le risque de leurs meilleurs éléments, ou du moins les plus expérimentés ?
A la différence des [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister france[/url] plans de licenciements secs, où l'on applique le principe du "dernier arrivé premier parti", ce sont [url=http://www.getconversational.com]hollister france[/url] en effet souvent les plus anciens quisont volontaires pour . Ce phénomène explique d'ailleurs en grande partie le taux d'activité trèsfaible des seniors en France. [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin[/url] Le risque pour l'entreprise, c'est que ce soient ses meilleurs éléments quidécident de s'en , même s'il y [url=http://www.mansmanifesto.fr]doudoune moncler[/url] a toujours moyen de un salarié...
En 2007, un premier plan de départs volontaires chez PSA s'était soldé par 6 600 départs quand la direction n'en escomptait que 4 800. Début 2008, un deuxième plan s'est cette fois soldé par un échec. Qu'est-ce qui fait le "succès" d'un plan de départs volontaires ?
Ily a là deux logiques différentes. Arcelor est une entreprise qui génèreencore des bénéfices (entre 5 et 7 milliards d'euros en 2008) alors quePSA est dans un secteur en fort ralentissement. Ces deux situationsvont se par des plans de départs volontaires différents : chezArcelor, ce sont les cols blancs qui sont touchés, alors que chez PSAles départs [url=http://shuofang.co/forum.php?mod=viewthread&tid=45923&pid=48367&page=1&extra=page=1#pid48367]doudoune moncler LIrlande restera-t-elle le bon é[/url] concerneront aussi les cols bleus, les ouvriers. Enréalité, Arcelor est dans la suite logique de [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich bologna[/url] sa fusion de 2006 qui afait appara?tre des doublons dans le personneladministratif. Ce plan de départs volontaires n'est donc pas lié à lacrise économique. Arcelor le réalise maintenant, deux ans après lafusion, en prenant la crise économique comme alibi.
. Lundi 1er décembre, ArcelorMittal a annoncé un objectif de 1 400 départs volontaires avant 2009. Peugeot PSA vient d' un projet similaire de 3 550 suppressionsde poste. Eric Heyer, directeur adjoint de l'Observatoire fran?ais des conjonctures économiques, explique ce qui se cache derrière ces [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister[/url] "départs volontaires".
Comme PSA, ArcelorMittal a recours aux départs volontaires, mais le Partisocialiste s'est exclusivement attaqué à ArcelorMittal, qu'il accusede se de la crise comme d'un "alibi". Pourquoi ?
Dans [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] ces conditions, ces départs sont-ils si volontaires que ?a ?
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