gkjkeg73ly
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Posted: Thu 5:24, 10 Oct 2013 Post subject: jordan pas cher Halte à la privatisation de lAssu |
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La réponse est double. Il s'agit d'abord de s' [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] de des mesures d'économie risquant de mécontenter les professions de santé, dont l'influence politique est forte. Le seconde préoccupation est d'éviter d' les prélèvements obligatoires. Le taux de prélèvements obligatoires (somme des et cotisations versées à des "institutions de sécurité sociale", rapportée au PIB) est en effet devenu un indicateur socio-économique, et émotionnel majeur, dont la progression est généralement présentée et interprétée de manière négative.
Certes, le relais est largement pris par les organismes d'assurance-maladie complémentaire (mutuelles, institutions de prévoyance, compagnies d'assurance), dont la part est passée, dans le même temps, de 8,7 % [url=http://www.louboumaterialistanyc.com]louboutin[/url] à 13,8 %. Mais sans [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich outlet[/url] du tout à ces organismes, il faut bien que leurs frais de gestion sont nettement plus élevés que ceux de [url=http://www.xjxybz.com/E_GuestBook.asp]jordan pas[/url] la sécurité sociale (de l'ordre de 8 % de leurs dépenses totales, en moyenne, contre 4,3 %), et surtout que les assurances qu'ils proposent sont porteuses d'inégalités considérables.
Or les cotisations et primes versées aux organismes d'assurance-maladie complémentaires sont considérées comme des dépenses privées ; elles ne sont [url=http://www.moncleroutletosterblade.com]moncler outlet[/url] donc pas comptabilisées comme des prélèvements obligatoires. Elles peuvent [url=http://www.moncleroutletosterblade.com]moncler[/url] alors allégrement sans que cela affecte le moins [url=http://www.mnfruit.com/airjordan.php]jordan[/url] du monde le taux de prélèvements obligatoires et sans le d'achat des ménages. En effet, alors que des majorations de CSG ou de cotisations sociales à la charge des ménages se déduisent de leur d'achat, les augmentations de contributions aux organismes d'assurance maladie complémentaire sont considérées, non pas comme des diminutions, mais comme des utilisations du d'achat, au même que les achats de hamburgers ou de téléphones portabes ; elles sont donc beaucoup moins [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] impopulaires.
Augmentation de prélèvements obligatoires ou [url=http://www.1855sacramento.com/moncler.php]moncler outlet[/url] des versements à des organismes d'assurance complémentaire privés pour être bien couvert vis-à-vis des risques de maladie ? Si cela ne change pas grand chose du point de vue économique, il n'en est pas de même sur le plan politique, et encore moins sur celui de la sociale car cette illusion d'optique est obtenue au prix d'une aggravation des difficultés éprouvées par de trop larges couches de la population pour accéder à des soins médicaux pourtant indispensables.
On peut alors se quel est l'intérêt, pour les pouvoirs publics, de réduire la participation de la sécurité sociale au financement des dépenses de santé si c'est pour transférer une part croissante de ces dépenses en direction de l'assurance-maladie complémentaire privée ?
JUSTICE SOCIALE
D'abord, en dépit de la couverture maladie universelle complémentaire, qui ne concerne que les ménages les plus pauvres, 8 % de la fran?aise – essentiellement des personnes à [url=http://www.mnfruit.com/louboutinpascher.php]louboutin pas cher[/url] revenus très modestes – n'ont aucune assurance-maladie complémentaire. Ensuite, pour les personnes qui en ont une, les tarifs sont généralement indépendants des revenus ; par contre, ils varient selon l'étendue des garanties proposées, et parfois avec l'?ge. En outre, les contrats collectifs souscrits par des employeurs pour le compte de leurs salariés sont généralement moins co?teux que les contrats individuels. Une "bonne mutuelle" désigne, en fait, des contrats qui prévoient, certes, des prestations généreuses, s'agissant notamment des soins dentaires, de l'optique ou des dépassements des tarifs conventionnels ; mais ce sont aussi des contrats chers et dont une partie du co?t est financée par l'employeur.
l'égalité d' médicaux en faisant en sorte que chacun contribue en fonction de ses moyens – et non pas en fonction de ses risques d'être malade – et re?oive des prestations [url=http://www.mquin.com/saclancel.php]lancel[/url] en fonction de ses besoins. Certes, ce principe n'a jamais été appliqué à [url=http://www.mnfruit.com/doudounemoncler.php]moncler pas cher[/url] la lettre, mais il est de plus en [url=http://ietter.com/view/post:4674903]louboutin pas cher Des idées pour réformer les r[/url] plus mis à mal avec l'amoncellement des mesures de déremboursement prises par les pouvoirs publics depuis les années 1980, et [url=http://bvkst.de/discussion/61404/peuterey-le-chavisme-fragilise-au-venezuela]peuterey Le chavisme fragilisé au Venezuela[/url] plus particulièrement depuis le milieu des années 2000 : création du "secteur 2" (honoraires libres) pour les médecins, augmentations du ticket [url=http://www.1855sacramento.com/moncler.php]moncler sito ufficiale[/url] modérateur, forfait hospitalier, franchises. Résultats : alors que la sécurité sociale finan?ait encore 80 % des dépenses de médicale en 1980, elle n'en prend plus à sa charge aujourd'hui que 75 %. Et de nouveaux déremboursements entreront en vigueur en 2011...
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