gkjkeg73ly
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Posted: Wed 9:15, 18 Sep 2013 Post subject: jordan pas cher Quelles conséquences pour la Gr& |
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Appauvrissement de la . Au-delà des efforts nécessaires pour de la compétitivité qui passe par la baisse des salaires, les Grecs conna?tront une forte diminution de leur [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] d'achat conjuguée à une forte hausse du taux de ch?mage. "Certains d'entre eux, les plus entreprenants, quitteront sans doute le pays", explique M. Sapir. "Qui plus est, la [url=http://www.ilyav.com/uggpascher.php]ugg pas cher[/url] Grèce ne dispose pas des de l'Argentine, explique M. Fitoussi. Or, souvenez- que ce pays a [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk[/url] connu des moments de quasi-famine à certains endroits." Toutefois, note M. Sapir, "la Grèce ne retournera pas au troc comme cela a pu être dit, mais il n'est pas impossible que l'euro cohabite avec la drachme pour certaines transactions." Enfin, les mesures d'économies drastiques des publiques auront des [url=http://www.1855sacramento.com/moncler.php]moncler outlet[/url] effets immédiats sur le nombre de fonctionnaires et donc la qualité des publics ainsi que sur la qualité de la protection sociale.
Faillites en série. Pour les particuliers comme pour les entreprises, les perdants seront ceux qui se [url=http://www.1855sacramento.com/moncler.php]moncler sito ufficiale[/url] sont endettés en euros. Les seront asphyxiées par leur crédit en euros et "de nombreux contrats seront brisés avec les partenaires européens", explique André Sapir, économiste à Bruegel, de recherche sur les politiques économiques en . "Il y aura une redistribution violente entre débiteurs et financiers", ajoute l'économiste à l'OFCE Jean-Paul Fitoussi. Par ailleurs, les entreprises ne trouveront aucun prêteur pour leurs importations, les créanciers refusant la conversion. Les entreprises grecques endettées en euros seront au bord de la faillite et devront, étranglées, les salaires, leurs prix voire pour espérer .
de la Grèce. Les "chances" de sortie du pays de la zone euro sont évaluées à quatre contre six par la maison de paris britannique William Hill pour une sortie de la Grèce de la zone [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin[/url] euro avant 2012. Mais quelles seraient les conséquences pour la d'une telle issue ? Si les économistes ne s'accordent pas sur la nécessité [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] pour Athènes de de la zone euro, plusieurs d'entre eux dressent prudemment un même scénario en deux actes : le chaos avant le retour à la compétitivité.
Pour plus loin :
Méfiance des investisseurs. "Il faudra du temps avant que ceux-ci acceptent de prêter de l'argent à la Grèce", explique André Sapir. "Les fournisseurs seront aussi très [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich parka[/url] réticents sauf à se payer cash par les entreprises grecques. Le Wall Street Journal racontait par exemple la semaine dernière que des grandes firmes pharmaceutiques hésitaient d'ores et déjà à des médicaments aux h?pitaux grecs", souligne-t-il. "L' et l' qui sont sortis du système monétaire européen au début des années 90 [url=http://www.mansmanifesto.fr]doudoune moncler[/url] n'ont retrouvé de la croissance qu'au bout de deux ans [en septembre 1992, à la suite de spéculations entra?nées par un référendum sur l'Europe au , la italienne et la peseta espagnole ont été dévaluées]. Quant à l', elle a retrouvé de la croissance mais toujours pas la confiance des investisseurs", rappelle M. Castillo.
La reconstruction ? La Grèce souffre d'un problème de compétitivité du fait de l'écart d'inflation accumulé depuis son entrée dans l'euro. Déprécier sa monnaie comme elle pourrait le en sortant de l'euro lui permettrait à moyen terme de avec cette compétitivité. Mais il faudra pour cela que le pays mène rapidement des réformes difficiles, synonymes de rigueur, qu'il n'a pas su en place jusque-là. Se pose dès lors la question du politique. "Les conséquences d'une sortie de la zone euro sont évidemment liées à la gestion politique qu'en ferait le gouvernement grec. Quel type de gouvernement ? Quel r?le pour sa banque centrale ? Quelle réforme pour son administration ? Autant de questions qui dépendent du politique et qui peuvent à la Grèce d'espérer sa compétitivité", explique M. Sapir. "Ce ne sera pas la fin de la Grèce, assure M. Fitoussi. Au prix de souffrances considérables, l'exemple argentin a montré qu'un pays pouvait se de la faillite. Pour la Grèce cela passe par une politique monétaire [url=http://www.ilyav.com/uggpascher.php]boots ugg pas cher[/url] ma?trisée et par une politique fiscale qui permette une collecte et un contr?le efficaces."
Instabilité sociale et . La précarité de masse provoquée par les mécanismes économiques expliqués ci-dessus pourrait entra?ner de fortes tensions sociales et politiques. "Pendant cette période de chaos, qui pourrait au moins deux ans, les gouvernements successifs n'auront aucun levier et [url=http://www.haoli010.com/news/html/?2131.html]hollister Ils rêvaient dAmérique[/url] seront emportés par des besoins contradictoires qu'ils ne pourront pas satisfaire, note M. Fitoussi. Il faut se que l'Argentine a connu après 2001 des périodes quasi insurectionnelles." "Le seul avantage que je vois à une sortie de la zone euro est que la dévaluation atteindrait plus d'agents économiques en Grèce. L'effort serait plus grand qu'en restant dans la zone euro mais il serait mieux partagé et ressenti comme plus équitable", explique M. Sapir.
Mouvement de panique bancaire. Le retour à la drachme – qui irait de pair [url=http://www.75jc.com/forum.php?mod=viewthread&tid=677645&pid=771560&page=1&extra=page=1#pid771560]barbour paris Un grave accident de trading ébranl[/url] avec l'annonce d'une dévaluation [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey outlet[/url] compétitive [url=http://glxy.fjnu.edu.cn/2010/guestbook.asp]www.achban[/url] – entra?nerait irrévocablement une fuite des dép?ts. Chaque épargnant grec préférant son argent en euros plut?t qu'en drachme dévaluée. Un tel mouvement de perte de confiance risque d'entra?ner des faillites bancaires en série. "Une possible panique bancaire consécutive à l'annonce de la dévaluation obligerait le gouvernement à les banques et donc [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister france[/url] à la planche à billet pour les . Un tel scénario aurait donc un co?t fort. L'inflation entra?nant une baisse du d'achat des ménages", explique Jésus Castillo, économiste chez Natixis.
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