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PRINCIPE DE PR?CAUTION
Cela n'étonne pas , délégué général à la Conférence des grandes écoles (CGE) : "Nos étudiants ont [url=http://www5f.biglobe.ne.jp/~shanil/mv/bbs2/t-yybbs.cgi]peuterey outlet Les cerisiers[/url] naturellement envie de les échanges ou les stages entamés. Comme lors de l'alerte H1N1 au , comme, plus récemment, lors des révoltes dans le monde arabe, ils ren?clent à leur cursus et à leurs amis. Une bonne partie ferait tout pour éviter le rapatriement, y compris une décharge pour [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin[/url] leur établissement."
"Ils ont réagi avec calme et sang-froid", note , directeur des relations internationales de la School qui n'avait, à la veille du séisme, que sept étudiants au Japon en raison des vacances. L'établissement a mis en place une sorte de cellule de [url=http://www.davidhabchy.com]barbour sale[/url] veille. "On a passé beaucoup moins de temps à nos étudiants... que leurs parents?!", précise M. Murdoch.
"La différence de traitement de l'information entre la France et le Japon est incroyable. En France, il semble que l'on cherche absolument l'audience, quitte à , quand au Japon, tout reste positif. On tente d'éviter la panique. La réalité doit être quelque part entre les deux", juge , 26 ans, étudiant de Rennes revenu de Senda?.
Douze de ses treize camarades ont quitté le Japon. [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] "Certains n'y [url=http://www.davidhabchy.com]barbour outlet[/url] étaient déjà plus au moment du séisme", précise , [url=http://park11.wakwak.com/~yda/cgi-bin/kokoa/keitaibbs2/epad.cgi]hollister sale Ligue des cham[/url] directrice des relations internationales de l'établissement. "C'est une période de 'break' entre les deux semestres, et beaucoup voyagent [url=http://www.eastscotinvest.co.uk/mulberry.html]mulberry sale[/url] en Asie. Notre objectif, aujourd'hui, est de nous de leur sécurité. C'est valable pour ces treize jeunes, comme pour les cinq ou six qui s'apprêtaient à le Japon, pour le second semestre. Les dé sont stoppés. Même si la menace était ma?trisée, les universités japonaises auront besoin de temps pour se relever".
DES PARENTS INQUIETS

Ce jeune homme, l'un des treize étudiants, doctorants et chercheurs de l'INSA de Lyon au Japon, est bien conscient de sa "chance incroyable" : "J'ai décollé de Tokyo... une heure avant la catastrophe?! Je ne pense pas que le personnel de la compagnie aérienne ait même été mis au courant. Moi, je n'ai appris la nouvelle qu'à l'atterrissage?: ma messagerie téléphonique était pleine?!".
Pour les quelque 600 étudiants et chercheurs fran?ais installés au Japon, s'avère très difficile. La moitié environ s'y est déjà résolue. "J'ai fini par céder aux demandes de mes parents, explique Lauriane Millet, 21 [url=http://www.re-tek.co.uk/abercrombie.html]abercrombie and fitch[/url] ans, étudiante de Panthéon-Sorbonne qui suivait des cours de japonais à l'université de Waseda, à Tokyo. Le Japon est devenu [url=http://www.mylnefieldanalysis.co.uk/barbour.html]barbour factory shop[/url] mon pays. Le était comme quelqu'un."
Calme au Japon, catastrophisme en Occident?? Censure japonaise, sur-réactivité fran?aise?? Florian Bourdon ne se pose plus la question. De retour à Lyon, il a préféré gardée éteinte sa télévision. "Trop de stress, trop d'angoisse... je ne savais plus qui . Ce sont mes amis japonais qui me rassurent, pas les médias."
Même sentiment pour , 26 ans, de Supélec, parti étudier à Senda?, puis à Tokyo. "C'était horrible de à mes amis : c'est trop dangereux ici, donc je pars. Et , ben ?a va ...?Je m'en veux encore beaucoup. En même temps, je sais que là-bas je ne servirai à rien..." "Les rapatriements devraient cro?tre dans les quarante-huit heures", précise Alexandre Rigal, directeur exécutif de la Conférence des directeurs des écoles fran?aises d'ingénieurs (CDEFI), "mais beaucoup de ces jeunes n'attendent qu'une chose?: le chemin en sens inverse".
Tous les étudiants contactés se disent étonnés du décalage important de perception entre l' et le Japon. "Il y a deux visions radicalement opposées.?Les , les autorités japonaises laissent que le pire n'est pas certain, les Japonais comme les expatriés veulent calmes, alors que les nos familles imaginent déjà le Japon rayé de la carte...", explique Damien Lieber, [url=http://www.rivaluta.it/css/moncler.html]moncler sito ufficiale[/url] 19 ans, rentrés mercredi 16 mars d'un séjour éclair de quatre jours à Tokyo. Parti avec trois de ses camarades de l'INSA de Lyon pour à un symposium sur les nano-satellites, le jeune homme a été frappé, à l'heure où était évoquée la très forte probabilité (70 %) de réplique sismique, par le calme et la dignité des Tokyo?tes.
Soulagés, ils le sont. Mais ils culpabilisent aussi, et beaucoup, en pensant à leurs amis, souvent aussi à leurs petit(e)s-ami(e)s, restés au . "Depuis que j'ai atterri en France, je n'ai qu'un souci?: le contact avec Senda?", explique , 22 ans, un étudiant de l'INSA de Lyon qui a passé un semestre à l'université ?, une ville située à une vingtaine de kilomètres des c?tes, en [url=http://www.mansmanifesto.com]doudoune moncler[/url] partie dévastée par le tsunami qui a suivi le séisme du 11?mars.
Pour les jeunes réticents à la France, le "repli intérieur" – du nord vers le sud du Japon –, ou vers les pays limitrophes comme la , la , etc., offre un répit. "La possibilité de la [url=http://cgi.ebay.co.uk/ws/eBayISAPI.dll?ViewItem&rd=1&item=350246435893&ssPageName=STRK:MESE:IT]abercrombie and fitch Une dép[/url] part des choses entre les peurs, légitimes, et la réalité de la menace?; entre les craintes qui leurs reviennent de Paris, celles des familles, et la version japonaise des évènements", relève Atenza Andres, [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk outlet[/url] directeur général de [url=http://www.rivaluta.it/hot/hogan.asp]outlet hogan[/url] l'Institut supérieur de commerce (ISC) de Paris. "Aucun de nos trois étudiants au Japon, deux à Tokyo, un à Osaka, n'est inquiet?; aucun ne veut , mais ils devront s'y résoudre, principe [url=http://www.getconversational.com]hollister pas cher[/url] de précaution oblige".