gkjkeg73ly
Joined: 19 Jul 2013
Posts: 1747
Read: 0 topics
Warns: 0/5 Location: England
|
Posted: Wed 8:18, 25 Sep 2013 Post subject: moncler outlet Le pinard, ce nest plus obligatoire |
|
|
l'Institut national de la statistique et des études économiques (Insee) dans ses Tableaux de l'économie [url=http://www.1855sacramento.com/moncler.php]moncler outlet[/url] fran?aise. "De [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]www.vivid-host.com/barbour.htm[/url] 1960 à 2000, la consommation d' a été divisée par deux en France, et cette baisse est entièrement imputable à la diminution de la de vin", indique l'Institut.
La consommation d'alcool, par jour et par habitant de plus de 15 ans, qui était de 5,65 verres en 1957, est tombée à 2,71 verres en 2009 (1,55 de vin, 0,60 de spiritueux, 0,49 de bière et 0,07 de cidre et boissons diverses) selon [url=http://www.ilyav.com/uggpascher.php]boots ugg pas cher[/url] l'Observatoire fran?ais des et des toxicomanies. Il s'agit là d'une moyenne, calculée à des recettes fiscales et rapportée à la de plus de 15 ans. Chez les hommes, la consommation d'alcool est en fait d'un peu plus de quatre verres par jour, contre deux verres chez les femmes, précise Christophe Palle, responsable du p?le Indicateurs de l'Observatoire.
Ce déclin peut être associé à celui des agriculteurs et des ouvriers, traditionnellement plus consommateurs d'alcool que les autres catégories socioprofessionnelles. Les "cols blancs", très féminisés à des années 1980, n'ont "ni les mêmes modes de vie ni les mêmes consommations que les cols bleus", rappelle [url=http://www.hollisterhanesmorgan.co.uk]hollister uk[/url] M. Fischler : "Dans l'univers du bureau, on boit du café ou du thé, et volontiers de l'eau, surtout lorsqu'on est une femme." L'eau, d'ailleurs, "commence à [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey outlet[/url] être conditionnée sous plastique à la fin des années 1970, puis en petit format dans les années 1980", remarque-t-il.
A des années [url=http://www.achbanker.com/home.php]www.achbanker.com/home.php[/url] 1950, on assiste à un "déclin du vin de table", une boisson "dont la présence est constitutive des repas et du quotidien, au même que le pain", explique le sociologue Claude Fischler (Du vin, Odile Jacob, 1999) dans le hors-série des Journaux du Midi, 1907-2007 : un siècle rouge ardent, paru en 2007.
"Le vin a cessé d'être un produit du terroir, symbole de l'identité gastronomique fran?aise pour être per?u comme un produit à risques", note Rapha?l Berger. Selon le Crédoc, les Fran?ais considèrent le vin [url=http://www.mansmanifesto.fr/category/doudoune-moncler-homme/]doudoune moncler homme[/url] comme le deuxième aliment à éviter après la charcuterie. Un changement de perception sans doute imputable aux messages sanitaires et aux découvertes scientifiques - dès 1988, le Centre de recherche sur le a conclu que les boissons alcoolisées sont cancérogènes.
Le déclin du vin s'explique aussi par un "effet de génération", estime Fran?ois Beck, responsable des enquêtes statistiques à l'Institut national de prévention et d'éducation à la [url=http://www.hollisterhanesmorgan.co.uk]hollister[/url] santé (Inpes) : "Les plus ?gés, buveurs quotidiens, disparaissent, tandis que les jeunes générations ont une autre manière d'appréhender le vin." Celui-ci n'est plus la boisson d'"accompagnement" du repas, mais un produit "plus convivial, plus festif et plus occasionnel", comme le confirmait, en 2010, une réalisée auprès de 4 000 personnes, de FranceAgriMer, établissement public réunissant les représentants des filières de l'agriculture et de la pêche. On sort une "bonne bouteille", achetée chez un caviste, lorsqu'on re?oit, on peut même du vin à la place des apéritifs [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] traditionnels. Le vin de table, qui représentait 65 % de la production en 1979, dégringole à 11 % en 2005, cette baisse profitant aux AOC et aux vins de pays.
"En passant de la consommation courante au produit de qualité supérieure, le vin s'est embourgeoisé", constatait Rapha?l Berger, du de recherche pour l'étude et l'observation des conditions de vie (Crédoc), en 2008 : les employés et les ouvriers en consomment moins souvent au quotidien que les cadres, sans doute parce que ces derniers bénéficient d'un cercle relationnel plus [url=http://www.cddfafrica.org/cddf_forum/discussion/39553/abercrombie-dmitry-grishin-le-milliardaire-russe-et-ses-bons-robots]abercrombie Dmitry Grishin, le milliardaire russe et ses bons robots[/url] large. Le duo saucisson-pinard ne semble plus promu que par les organisateurs d'"apéro géants" à [url=http://www.dockspacetrader.com/item/4498]barbour paris Dieu, Marx, Keynes ou le culte du r[/url] visée anti-islamique.
Le Monde.fr a le [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour[/url] plaisir de vous la lecture de cet article habituellement réservé aux abonnés du Monde.fr.Profitez de tous les articles réservés du Monde.fr en
Cols blancs et cols bleus
Dans les années 1980, les campagnes de prévention mettaient en garde [url=http://www13.plala.or.jp/gakuki3/cgi_bin/aska/aska.cgi]barbour outlet Le code source[/url] contre les dangers de l'ivresse ("Tu t'es vu quand t'as bu ?"). A l'inverse, celle qui a été lancée le 13 mars par le secrétariat d'Etat à la santé et l'Inpes - mettant en scène un quadragénaire - vise la consommation "régulière et excessive" qui ne conduit pas nécessairement à l'ivresse. Elle entend [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich[/url] qu'au-delà de trois [url=http://www.davidhabchy.com]barbour outlet[/url] verres par jour pour les hommes et deux pour les femmes, on joue avec sa santé.
The post has been approved 0 times
|
|