qdnto15z
Joined: 31 Jul 2013
Posts: 8863
Read: 0 topics
Warns: 0/5 Location: England
|
Posted: Wed 16:36, 18 Sep 2013 Post subject: peuterey outlet Les eurosceptiques ont tort |
|
|
Outre ces secteurs très symboliques, sans doute n'est-il pas [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey outlet[/url] inintéressant de préciser que les exportateurs de la zone euro fournissaient jusqu'à 12 % des importations chinoises d'habillement, aux deux tiers satisfaits par l'industrie italienne, 63 % de celles de maroquinerie, que se partagent pour l'essentiel la France et l'Italie, mais également 43 % des importations de produits pharmaceutiques.
Cet environnement n'est naturellement pas sans conséquences sur la situation européenne. Dans la zone euro, les données économiques de ces derniers mois ont également amené leur lot de bonnes surprises. Non seulement le climat des affaires se tient remarquablement bien, mais les sont de plus en plus nombreuses à des emplois, qui plus est dans l'. La crise souveraine et le resserrement fiscal généralisé qui lui est associé n'ont pas entamé le moral des industriels ni [url=http://www.mansmanifesto.fr]doudoune moncler[/url] celui des ménages.
Après de longues années, au cours desquelles la grande majorité des économistes ont fait preuve d'une cécité aigu? quant aux insuffisances de l'union monétaire, cet euroscepticisme risque bien d'être à son tour l'expression d'une certaine myopie. Dans un [url=http://www.davidhabchy.com]barbour sale[/url] monde en profonde mutation, où les rouages de l'économie internationale d'après crise n'ont plus grand-chose à avec le fonctionnement du passé récent, l' européen pourrait se singulièrement transformé, en particulier par le changement d'influence de la Chine sur l'économie internationale.
Il est intéressant de que cette transformation s'accompagne déjà d'une tendance au recentrage de l'activité des entreprises chinoises sur leur propre marché, mouvement du reste encouragé par les autorités qui, soucieuses d' l'approvisionnement de leur demande domestique, suppriment nombre de subventions à l'exportation. Certains voient dans ce mouvement l'illustration d'un marché chinois de plus en plus concurrentiel, sur lequel les entreprises occidentales pourraient bien du [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister[/url] mal à des débouchés. Cela est incontestablement le cas dans un certain nombre d'industries pour lesquelles les Chinois sont de plus en plus à même de leurs besoins. Mais tel n'est certainement pas le cas dans tous les secteurs. En premier lieu parce que le retard technologique reste difficile à dans les domaines les plus pointus de l'industrie ; en second lieu parce que, notamment en ce qui concerne les aspirations des consommateurs, l'image du produit est difficilement rempla?able.
PERSPECTIVES MOROSES
La montée récente de l'inflation des pays émergents d'Asie constitue de ce point de vue, et toutes proportions gardées, une tendance relativement encourageante pour l'Europe : plus durable seront ces écarts d'inflation, plus important sera le rééquilibrage en matière de taux d'échange réel, et donc de compétitivité.
Ce nouvel environnement offre aux industriels européens une source de demandes inédite dont on peut d'ores et déjà les effets sur la conjoncture mondiale. Ainsi, selon les données disponibles, la croissance de [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] la consommation des pays émergents aurait excédé de 40 % celle des pays développés en 2010 et celle de la Chine aurait au moins égalé la croissance de la demande des consommateurs américains.
UNE RUPTURE CONSID?RABLE
L'Europe pourrait de fait être beaucoup mieux à même de son épingle du jeu du nouvel ordre économique mondial qu'il n'est généralement admis ; ordre dans lequel les nouveaux consommateurs des économies les plus avancées du monde émergent, Chine, , et... Inde, représentent au bas mot 2,5 milliards d'individus aux besoins croissants et de plus en plus sophistiqués au fur et à mesure du développement fulgurant de leurs classes moyennes. Décollage économique et caractéristiques démographiques combinés aboutissent aujourd'hui à une augmentation considérable de la citadine aux revenus dorénavant suffisamment élevés pour à des achats d'un certain standing dont les caractéristiques correspondent davantage à la spécialisation européenne qu'à celle des entreprises locales, et ce particulièrement dans le cas chinois.
De telles perspectives ne sont pas seulement moroses, elles sont effrayantes. Car, si la croissance finit par sous le coup du traitement de choc [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] fiscal administré à la grande majorité des pays de la région, alors il se pourrait bien que la crise souveraine n'en soit qu'à ses balbutiements et que l'étau dans lequel ont été pris les pays dits périphériques se resserre sur le coeur de la zone euro. Un tel scénario, même avec la meilleure volonté politique, aurait à long terme probablement raison de l'union monétaire, ce qui, quoi qu'il en soit des dysfonctionnements de l'Union économique et monétaire (UEM), constituerait un cataclysme économique [url=http://ringisland.jp/cgi-bin/yybbs/yybbs.cgi/1v8s/yybbs.cgi%3Fp]giuseppe zanotti sneakers Mak[/url] au co?t inestimable, à l'échelle mondiale.
A d'illustration, on notera par exemple que la zone euro (l'Union économique et monétaire restreinte à ces six principaux pays que sont l', la France, l', l', la et les ) fournissait en 2009 plus de 60 % des importations chinoises de vins et spiritueux, ou encore 32 % des importations de cosmétiques, parfums ou autres huiles essentielles, dont on reconna?tra sans difficulté la provenance principale.
Malgré ces [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour paris[/url] déboires, la zone euro représente encore 35 % des exportations mondiales de produits manufacturés, tandis que la grande Europe, pays scandinaves et inclus, approvisionnait encore jusqu'à 40 % des débouchés internationaux.
Les nouvelles d'Asie n'ont pas dé?u non plus. De fait, la croissance chinoise caracole toujours aux environs de 10 % l'an dans un contexte de solide progression de la production, des exportations et de la des ménages. Conséquence : ce sont désormais [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey[/url] les craintes de surchauffe que tente de prévenir la banque de Chine par le resserrement des conditions de crédit. Les bonnes nouvelles d'Asie ne s'arrêtent pas à la . L' et la plupart des autres économies de la région, compris, ont maintenu le cap d'une croissance forte, le plus souvent soutenue par une solide dynamique de leur demande domestique sur fond de monétaire partout très accommodante.
Voir ce pays de 1,3 milliard d'habitants d'un statut de concurrent à celui de marché constitue une rupture considérable, tout particulièrement pour l', qui reste le premier exportateur de produits manufacturés au monde.
Le passage d'un modèle de développement chinois [url=http://www.ilyav.com/uggpascher.php]ugg pas cher[/url] jusqu'alors exclusivement assis sur la performance à l'exportation à celui d'une croissance endogène alimentée par la consommation domestique concentre, depuis la crise, tous [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php]giuseppe zanotti pas cher[/url] les efforts de la classe dirigeante et constitue une rupture dont on a peine à les implications tant elles sont profondes. Le marché chinois de l'automobile, équivalent il y a dix ans à peine à celui de la France, lui est déjà neuf fois supérieur, avec un rythme de croissance annuel de 18 millions de véhicules, selon les derniers chiffres. Premier marché mondial, la Chine occupera demain ce premier rang pour une gamme de produits de plus en plus large.
Ce positionnement a valu aux pays européens d'être particulièrement sanctionnés par la montée en puissance de la concurrence des produits chinois sur la scène internationale ces dernières décennies. Ainsi, depuis le début des années 1990, l'empire du [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]www.vivid-host.com/barbour.htm[/url] Milieu a gagné l'équivalent de ce qu'a perdu l'Europe sur le marché mondial des exportations de produits manufacturés, soit à peu près 10 % de ce dernier. Exacerbée par des conditions de change éminemment défavorables entre 2002 et 2008, période au cours de laquelle la valeur réelle de l'euro s'est appréciée de quelque 50 % à l'égard des asiatiques, cette concurrence a laminé les industries à faible valeur ajoutée et faible contenu technologique qui caractérisaient encore de nombreux pans de l'activité européenne.
Dans le contexte présent d'immense incertitude sur l' de l'Union monétaire, un tel changement d'environnement ne peut être négligé. Il constitue en réalité le seul espoir de consolidation de la croissance nécessaire à la dissipation à terme des crispations souveraines, au rétrécissement des écarts de conjoncture entre les pays de la zone euro, condition indispensable à la préservation à terme de l'Union monétaire européenne.
Rares sont toutefois les économistes à que ces puissent se . Crise de la dette souveraine oblige, 2011 sera, pour la grande majorité des prévisionnistes, l'année de la restriction fiscale et, par voie de conséquence, d'une croissance anémique et d'un ch?mage toujours très élevé. Hausses de la fiscalité et baisses des dépenses publiques constituent le lot commun de la plupart des économies de la région quand [url=http://www.1855sacramento.com/moncler.php]moncler sito ufficiale[/url] la propagation de la crise souveraine a conduit même les pays les plus vertueux à d'un cran supplémentaire leur politique budgétaire. Cette restriction fiscale devrait co?ter largement plus d'un point de croissance économique à l'ensemble de la zone euro cette année, faisant de l'agenda 2011 un "processus d'ajustements douloureux, d'austérité fiscale et de réformes structurelles... dans un contexte de faible croissance, voire de récession, dans certains pays", ainsi que le résumait l'économiste il y a quelques semaines.
Ajoutons à ce constat que les conditions de change de l'euro, très nettement aggravantes pour l'industrie européenne durant la décennie 2000, se sont sensiblement améliorées ces deux dernières années et cela tout particulièrement à l'égard des devises asiatiques par rapport auxquelles l'euro [url=http://www.booktoy.net/bbs/forum.php?mod=viewthread&tid=7597506&fromuid=14351]hollister outlet sale Choosing The Perfect The Top Bouquet Online[/url] s'est significativement déprécié. Corrigé des écarts d'inflation entre les deux régions, le taux de change réel de l'euro a l'égard du bloc asiatique est maintenant à son plus bas niveau depuis 2001. Un tel environnement de change est en mesure d'améliorer sensiblement le positionnement des exportateurs européens par rapport à leurs concurrents tant sur les marchés à l'exportation que sur les marchés domestiques et ce d'autant plus que les entreprises chinoises sont [url=http://park1.wakwak.com/~flyfisher/cgi-bin/zz7/joyful.cgi]hollister Limmolation publiqu[/url] actuellement très sollicitées par leur propre marché. L'extrême pression concurrentielle qui s'est exercée sur les entreprises européennes ces deux dernières décennies est donc bel et bien en train de s'éroder.
ses fruits. Le des affaires s'est ressaisi, le ch?mage reflue et les consommateurs apparaissent un peu moins frileux. Très disparates il y a encore peu, les prévisions sur la croissance américaine sont aujourd'hui plus consensuelles, se situant le plus souvent au-dessus de 3 % pour 2011.
NOUVEL ORDRE ?CONOMIQUE MONDIAL
The post has been approved 0 times
|
|