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Les choses changent. En 2009, France Télécom a sollicité l'Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs (Andra) pour un stockage définitif à ses parafoudres. Un appel d'offres a été lancé pour un [url=http://www.mxitcms.com/tiffany/]tiffany outlet[/url] tri des dispositifs déjà collectés dans les agences, remporté par l'IRSN. "Nous avons récupéré environ 500 kg de parafoudres sur une vingtaine de sites", indique Alain Savary (IRSN). Ces [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] ampoules sont en cours de tri à Fontenay-aux-Roses (Hauts-de-Seine) par une équipe d'une dizaine de personnes. "Nous avons géré un passif, mais il reste encore un nombre indéterminé de parafoudres sur le réseau", rappelle M. Savary.
Sans ces résultats, un rapport commandé par la [url=http://www.mansmanifesto.fr/category/doudoune-moncler/‎]doudoune moncler[/url] CGT FATP (Fédération des activités postales et de télécommunications) du Cantal à la Commission de recherche et d'information indépendantes sur la radioactivité (Criirad), rendu public lundi 15 mars, estime que "les expositions aux rayonnements ionisants émis [par ces dispositifs] n'étaient certainement pas négligeables".
Pourquoi attendu si longtemps pour en place des procédures de traitement de ces sources radioactives, alors que les personnels s'en sont [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey outlet[/url] inquiétés dès la fin des années 1990 ? "Ca ne se fait pas en un jour parce qu'il y a la question du co?t qui, pour une entreprise comme France Télécom, qui n'a pas l'habitude des déchets radioactifs, para?t souvent élevé", répond Bruno Cahen, directeur technique à l'Andra.
France Télécom se défend [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] d'être resté inactif : dès 1999, la récupération était mise en place et une [url=http://www.achbanker.com/home.php]www.achbanker.com/home.php[/url] procédure d'information était lancée à destination des agents en contact avec ces matériels, renouvelée en 2001 puis en 2009, fait l'opérateur. Il nie tout lien entre ces parafoudres et des "agrégats" de cancers constatés dans certains centres. Cela convaincra-t-il le de Riom-ès-Montagnes (Cantal), où cinq des six derniers agents [url=http://www.1855sacramento.com/moncler.php]moncler outlet[/url] ont développé un , [url=http://park16.wakwak.com/~sakura2nd/cgi-bin/yybbs.cgi%3Fpage%3D60]tiffany outlet LInde approuve[/url] dont trois sont morts ? Le r?le de la radioactivité sera difficile à démêler de celui du grand nombre de cancérogènes auxquels un récent rapport montre qu'ils ont pu être exposés au cours de leur vie professionnelle : amiante, ondes électromagnétiques, agents chimiques...
L'étude de la Criirad porte sur certains [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php]giuseppe zanotti sneakers[/url] modèles manipulés par [url=http://www.px.tsukuba.ac.jp/home/tcm/kyoshida/cgi-bin/postmail.cgi]barbour outlet Le réseau soci[/url] des agents de la CGT du Cantal, contenant essentiellement du radium 226 et du tritium. Bruno Chareyron, responsable du laboratoire, reconna?t que l'on reste dans le domaine des très faibles doses et ne souhaite pas de "psychose", mais il souligne que, selon des calculs "très estimatifs", certains scénarios laissent que la limite d'exposition annuelle pour la (hors sources naturelles et médicales), à un millisievert (mSv), a pu être dépassée. A de comparaison, l'exposition d'origine naturelle est d'environ 2 mSv/an.
Des témoignages font cependant état "de situations où des parafoudres ab?més ont été manipulés", rappelle [url=http://www.ilyav.com/uggpascher.php]boots ugg pas cher[/url] Franck Refouvelet, représentant CGT dans le Cantal. Longtemps, ces matériels ont été remplacés sans précautions particulières, certains agents prenant les plus petits en bouche - à la manière de pointes de tapissier - pendant leurs interventions. Le matériel déclassé finissait souvent à la poubelle.
"L'étude en cours à l'IRSN s'attachera précisément à définir des scénarios d'exposition plausibles", indique Patrick Gourmelon, chef du département de protection de la santé de l'homme à l'Institut. Pour ce radiopathologiste, le risque, faible, tient essentiellement à une contamination interne liée à des parafoudres dégradés, "une situation accidentelle, donc rare".
Procédure d'information
Destinés à éviter des surtensions sur les réseaux, ils ont été installés entre 1940 et la fin [url=http://www.nyxin.com/forum.php?mod=viewthread&tid=34581&pid=70709&page=2&extra=page=1#pid70709]giuseppe zanotti pas cher Voile lAustralie a de[/url] des années 1970. Il en subsiste un nombre indéterminé, mais sans doute important : en 2002, un rapport [url=http://www.hollisterhanesmorgan.co.uk]hollister[/url] commandé par France Télécom avan?ait le chiffre de [url=http://www.davidhabchy.com]barbour sale[/url] 700 000 à un million de ces parasurtenseurs, avec une marge d'erreur de 50 %.
(IRSN) [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] analyse actuellement, à la demande de l'opérateur téléphonique, les niveaux d'exposition aux rayonnements des agents au contact de parafoudres radioactifs.
La Criirad recommande donc l'information et la formation des personnels amenés à récupérer et à ces matériels anciens. Pour évaluer les expositions passées, elle suggère de en compte les expositions externes mais surtout internes - inhalations -, certaines ampoules endommagées ayant laissé leur contenu radioactif.