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"La hausse des marchés est [url=http://www.dehongw.com/home.php?mod=space&uid=4832][/url] alimentée par l'afflux de liquidités de la banque centrale américaine. Donc, de deux choses l'une : soit cette monétaire provoque la relance économique espérée, et l'appréciation des est justifiée. Soit ce n'est pas le cas, et la [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich bologna[/url] Bourse sera rattrapée par la réalité", avertit M. Parisot.
Seconde catégorie : les optimistes, qui parient sur une reprise de l'économie au second semestre, comme les chimistes (Dupont) ou certaines s technologiques (Cisco).
M. Parisot distingue deux types de discours chez les dirigeants. D'une part, [url=http://www.americatownmovie.com]jordan pas cher[/url] ceux qui expliquent abaissé leur [url=http://www.americatownmovie.com]air jordan pas cher[/url] point mort, réduit leurs stocks, bref s'être mis en ordre de bataille pour relativement sereinement un redémarrage plus franc [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] de l'économie.
Encore très exposés à un marché domestique convalescent, les groupes américains p?tissent aussi du ralentissement [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin[/url] de la croissance dans les pays émergents, et Amérique latine en tête. Sans l', plus lointaine, mais mal en point.
"Mais le ma?tre [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] mot reste l'attentisme. Si les choses ne vont pas aussi mal qu'en 2009, au plus noir de la crise, les dirigeants manquent de visibilité et se montrent extrêmement prudents [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister france[/url] dans leurs prévisions", indique M. Parisot. Autrement dit, ils n'investissent ni en recherche-développement ni dans l'appareil de production, hypothéquant encore un peu plus la possibilité d'un réel rebond de l'activité.
C'est le cas notamment de Caterpillar, le leader des engins de chantier, qui a publié des résultats décevants, mais [url=http://www.achbanker.com/home.php]www.achbanker.com/home.php[/url] a noté des progrès dans l'économie américaine, provoquant un rebond de son cours de Bourse.
Ce marasme alimente les craintes de bulle boursière. Car, pendant que les entreprises tergiversent, les marchés actions volent de record en record. Le 15 mai, le S&P 500 a franchi un plus haut historique, à plus de 1658 points. Le décalage est d'autant plus frappant que les analystes continuent de à la baisse leurs prévisions de bénéfices pour 2013...
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Sur les trois premiers mois de l'année, 79 % des groupes du S&P 500, l'un des indices de référence de la américaine, ont fait mieux que le consensus [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich parka[/url] des analystes en terme de bénéfice par action, a calculé le [url=http://www.dibangyaokongqi.com/bbs/home.php?mod=space&uid=47266][/url] courtier [url=http://www.cfc365.com/bbs/home.php?mod=space&uid=78083][/url] Aurel BGC. Mais la proportion tombe à 46 % pour le chiffre d'affaires.
Autrement dit, "America Inc.", comme on surnomme [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister[/url] parfois le tissu d'entreprises outre-Atlantique, est [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour[/url] parvenu à les co?ts et à sur les dépenses. Mais le regain d'activité n'est pas au rendez-vous. En moyenne, les ventes ont reculé de 0,6 % entre le [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister france[/url] premier trimestre 2013 et la même période de 2012. "Nous sommes dans un scénario de croissance molle", résume , responsable de la recherche chez Aurel BGC.

"MITIG?E", "ni bonne ni mauvaise" A l'image des économistes, divisés sur la réalité de la reprise américaine, les analystes financiers sont partagés sur la lecture à des résultats trimestriels des .
AFFLUX DE LIQUIDIT?S