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En effet, avec le développement actuel de biens plus complexes, il apparait souvent impossible de un bien nouveau, puisqu'il nécessite l'utilisation, même pour une part faible, d'un brevet détenu par [url=http://park1.wakwak.com/~flyfisher/cgi-bin/zz7/joyful.cgi]hollister uk Make Good Profit[/url] une autre entreprise. Dans ce cas précis, le monopole d'exploitation sur une connaissance représente une véritable barrière à l'entrée et réduit en conséquence la production de connaissances nouvelles. [url=http://rover.ebay.com/rover/1/711-53200-19255-0/1?campid=5336182395&customid=pubster&toolid=10013&mpre=http%3A//cgi.ebay.com/ebaymotors/2pcs-Neon-LED-Bike-Car-Tyre-Tire-Green-Valve-Caps-Light-/320518985750]barbour uk outlet Just What E[/url] De plus, le brevet n'est pas toujours le plus efficace pour les entreprises modernes car, dans le secteur du notamment, un ensemble d'innovations séquentielles est toujours nécessaire et ne conduit pas forcément à autant de dép?ts de brevets?: souvent la protection par simple copyright des programmes des logiciels est plus efficace.
Au niveau managérial. Si 93 % des [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich outlet[/url] entreprises fran?aises se considèrent comme innovantes ou très innovantes [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]www.vivid-host.com/barbour.htm[/url] (selon l'étude Consulting - ), force est de que la production des connaissances est de [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk[/url] plus en plus externalisée ou au mieux circonscrite au seul service RD. De fait, dans un environnement concurrentiel où depuis des décennies la spécialisation des t?ches et le contr?le des co?ts et des ressources est devenu le Saint-Graal menant au profit, la valorisation de la ressource connaissance dans tous les domaines de compétences de l'entreprise?(RD, production, marketing...) est assez mollement per?ue comme une voie pouvant au profit. Cette situation s'explique d'abord par le fait que la connaissance est une ressource souvent indissociable de l'individu.
Pour développer l'économie de la connaissance, il est nécessaire d' la production de connaissances à l'ensemble de l'entreprise. C'est par ce décloisonnement et l'implication de l'ensemble des salariés dans la production de connaissances que l'entreprise pourra créer de nouvelles opportunités de marché. Les réussites industrielles et financières d'entreprises, comme et Wal Mart aux Etats-Unis ou Décathlon en [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] France, qui ont fait le choix de l'ensemble de leur organisation vers l'objectif d'innovation montrent que des modes de management existent permettant de objectifs de [url=http://www.davidhabchy.com]barbour sale[/url] production à court terme et décloisonnement de la production de connaissances.
Valoriser la connaissance, c'est [url=http://jwc2.hlbrc.cn/jwc_web/Review.asp?NewsID=961]La vidéo, prochain levier de croissance de Twitter [/url] d'abord reconna?tre au salarié un r?le essentiel dans la réalisation des objectifs de l'entreprise et des [url=http://www.achbanker.com/homes.php]www.achbanker.com/homes.php[/url] modes de management permettant plus d'autonomie et une reconnaissance individuelle plus importante. la connaissance, c'est aussi un d'organisation moins centré sur la spécialisation des t?ches ouvrant la voie à l'échange de connaissances entre services et à la collaboration inter-fonctionnelle propre à la création de connaissances nouvelles. la connaissance, c'est enfin de une large partie de sa performance sur la valorisation [url=http://www.1855sacramento.com/moncler.php]moncler outlet[/url] d'une ressource difficilement contr?lable et évaluable. Ces spécificités amènent beaucoup d'entreprises à considérer que la production de connaissances [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]abercrombie[/url] est difficilement compatible avec les objectifs de production à court terme et que, s'il faut des connaissances nouvelles et , notamment techniquement, pour les biens et à , ceci ne doit pas être son objectif premier. Cette stratégie peut être efficace sur le court terme, mais elle est co?teuse, défensive et n'amène l'entreprise qu'à ses marchés actuels, et pas à en de nouveaux et donc à toutes les opportunités de profits liés à la valorisation de sa ressource connaissance.
Au fil des crises (financière puis économique et, maintenant, avec la dette publique, ), l'objectif de 3 % a du être repoussé à 2020. Toutefois, les raisons de cette véritable occasion manquée ne sont pas seulement conjoncturelles, elles sont même avant tout d'ordre structurel. Pour que l'économie de la connaissance se développe enfin, il est urgent de créer les conditions, tant au niveau managérial qu'économique, permettant [url=http://www.achbanker.com/homes.php]hollister[/url] aux entreprises de et de les connaissances.
de l' "l'économie de la connaissance la plus compétitive et la plus dynamique du monde d'ici à 2010", afin de répondre aux besoins [url=http://www.hollisterhanesmorgan.co.uk]hollister[/url] prégnants de nos s en termes d'emplois, de compétitivité, d'énergie et d'environnement. Pour cela, un objectif de 3 % d'investissement du PIB de l' en recherche et développement (RD) avait été fixé, dont les deux-tiers devaient être remplis par les privées, lesquelles ne financent aujourd'hui qu'à peine la moitié de la RD de l'Union.
Au niveau économique. La connaissance est un bien collectif car non-rivale (plusieurs agents peuvent en bénéficier en même temps) et faiblement exclusive (le fait d'en sans la totalité du prix lié à sa production). De ce fait, sa production sur un marché concurrentiel a longtemps été considérée comme très insuffisante. Historiquement, le système de brevet a été mis en place pour une production élevée de connaissances nouvelles, gr?ce au fait qu'il donne un droit exclusif d' la nouvelle connaissance pour une période limitée dans le temps. Or ce système et, à la fois, l'idée selon [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour[/url] laquelle la concurrence est toujours mauvaise pour la production de connaissances doivent aujourd'hui être remis en cause.
Enfin, depuis à peine deux décennies, sont apparus des secteurs économiques à la fois hyperconcurrentiels et pourtant très innovants.?Ainsi, les start-up en biotechnologies et en de l'information remettent clairement en cause l'idée que [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister france[/url] seuls le monopole ou la concurrence faible favorisent l'innovation et la production de connaissances. Néanmoins, force est de préciser que, pour chaque marché ou chaque secteur, les conditions favorables à la production de connaissances sont remplies jusqu'à un certain seuil de concurrence, au-delà duquel l'excès de concurrence lamine les profits et donc le financement de la RD.
Sur le plan macroéconomique, à la détermination de ces seuils, et la concurrence pour chaque secteur est une voie de régulation à privilégier davantage pour la production et le partage des connaissances des entreprises et, ainsi, (enfin?!) le développement de l'économie de la connaissance.