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L'ancien ministre de l'intérieur , sans à son compte l'expression "racisme anti-Blancs", a estimé sur LCI que?"des tensions apparaissent". "Il ne faut pas que ces tensions sont à sens unique. (...) Il y a des tensions [url=http://www.fibmilano.it]woolrich outlet[/url] entre communautés, des tensions à l'égard de la communauté juive et des tensions de cette nature", [url=http://www.davidhabchy.com]barbour outlet[/url] a ajouté l'eurodéputé. "Chacun s'exprime avec ses mots, mais je suis d'accord sur le fond", a dit ce proche de .
MARINE LE PEN D?NONCE LE "CYNISME" DE M. COP?
Lire [url=http://www.teatrodeoro.com/hollisterde.php]hollister[/url] :
"Un racisme anti-Blancs se développe dans les quartiers de nos villes où des individus – dont certains ont la nationalité fran?aise – méprisent des Fran?ais qualifiés de 'Gaulois' au prétexte qu'ils n'ont pas la même religion, la même couleur de peau ou les mêmes origines qu'eux", écrit le secrétaire général de l'UMP, le jugeant "tout aussi inacceptable que toutes les autres formes de racisme". "Nous devons le dénoncer."
Fran?ois Fillon s'est déclaré mercredi "pas choqué" par le fait que son rival reprenne une expression du FN. "Cela ne me choque pas. Le FN n'est propriétaire de rien. Il décrit une situation qui est réelle. Je n'ai aucune difficulté avec cela", a répondu l'ex-premier ministre à la presse, à qui il présentait .
"Ces phénomènes sont impossibles à depuis Paris, dans les sphères médiatiques et politiques où la grande majorité des dirigeants sont des Fran?ais blancs de peau, nés de parents fran?ais. Dans ces microcosmes, le manque de diversité limite la présence de personnes de couleur ou d'origine étrangère", écrit le député-maire de Meaux (Seine-et-Marne). Et d' : "Mais regardons la vérité en face : la situation est inversée dans beaucoup de quartiers de nos ."
Sur i<télé, l'ex-ministre a quant à elle pris quelques distances : "Je n'aime pas trop ce type de [url=http://www.fudousan-net.co.jp/cgi-bin/fantasy.cgi/fantasy.cgi%3Fresult]barbour outlet Lapprentissage[/url] formules qui, me semble-t-il, demandent à être explicitées". "Ce qui est vrai, c'est qu'il y a dans les quartiers des tensions fortes entre communautés, [url=http://www.davidhabchy.com]barbour sale[/url] a-t-elle dit. C'est le contraire de ce qu'on cherche en République. On cherche une communauté nationale, pas la multiplication de communautés c?te à c?te."
"DR?LEMENT DANGEREUX"
Jointe par Le Monde, trouve cette reprise par M. Copé d'un thème du FN "hallucinante". "Pendant cinq ans au , l'UMP de M. Copé a totalement nié ce racisme, hurlant avec les loups contre le qui, seul, a eu le courage de le dénoncer et de réclamer qu'il soit poursuivi. Le cynisme de cet homme est sans aucune limite et en matière de revirements électoralistes, il a bien appris de ", a estimé la présidente du Front national.
"PERSONNE N'EST PROPRI?TAIRE NI DES MOTS, NI DES ID?ES"
"GAULOIS"
De son c?té, le leader [url=http://www.shewyne.com/woolrichoutlet.html]woolrich sito ufficiale[/url] du Front de gauche, , a estimé que M. Copé se livre à une "reprise pure et simple de l'argumentaire de l'extrême droite". "Cet [url=http://www.riad-marrakesh.fr]abercrombie[/url] homme est un réactionnaire. Ce dont il est significatif, c'est d'une évolution des mentalités à droite où on ne répugne plus à des arguments stupides et éculés de l'extrême droite", a-t-il ajouté. Avant de : "Il est dr?lement dangereux M. Copé, parce qu'avec un gars pareil à la tête de la droite, c'est l'incendie garanti."
Lire :
De son c?té, , secrétaire général du Front [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]abercrombie milano[/url] national, a estimé mercredi que Jean-Fran?ois Copé "est bien obligé" d' des thèses FN pour conquérir les militants de son propre parti.?
Mais M. Fillon a dit préféré répondre à ces comportements plut?t que de les dénoncer. "Ma volonté n'est pas de dénoncer telle ou telle forme de racisme mais d' des réponses", a-t-il déclaré, en insistant sur "l'intransigeance sur les questions de sécurité" et la "régulation stricte de l'immigration".
M. Copé se défend de au FN cette expression empruntée à l'extrême droite, que d'autres membres de l'UMP n'adoptent pas. Fran?ois Fillon, de son c?té, préfère "apporter des réponses", alors que la gauche dénonce des propos "très graves".
Du au , la gauche a dénoncé des propos "très graves".
Jean-Fran?ois Copé "dérape", a estimé le président du groupe socialiste au Sénat, Fran?ois Rebsamen, qui se dit "très surpris" de le responsable UMP une telle formule.?"Ces propos, qui cherchent encore à les antagonismes entre les uns et les autres (...) sont des propos à visée interne, dans le cadre de la campagne de l'UMP aujourd'hui", a déclaré M. Rebsamen sur le Talk -Le Figaro.
Le secrétaire général [url=http://www.agentparadise.com]woolrich sito ufficiale[/url] adjoint du parti, , n'a pas repris non plus la formule de M. Copé. Interrogé lors du point presse hebdomadaire de l'UMP, M. Daubresse, qui fait partie des signataires de la motion [url=http://huzhuchina.com/viewthread.php?tid=60974&extra=]hollister sale Five Free Tips On How To Get Your Ex Back[/url] humaniste et libérale, a déclaré : "Jean-Fran?ois Copé exprime une réalité qui existe. Il s'exprime avec ses mots, moi avec les miens (...) Moi, je l'exprime d'une autre manière."
"C'est vrai qu'on a assisté dans nos quartiers depuis quelques années à des phénomènes comme ceux que manifestement Jean-Fran?ois Copé évoque dans son livre, a déclaré M. Fillon. Mais ces comportements doivent être combattus avec la même détermination que toutes les autres formes de racisme."
, a anticipé la polémique : il dit lui-même vouloir "à dessein" "briser un tabou" en dénon?ant l'existence d'un "racisme anti-Blancs" dans certains quartiers difficiles, dans son livre Manifeste pour une droite décomplexée (Fayard), dont Le Figaro Magazine, à para?tre vendredi, publie des extraits.
HORTEFEUX "D'ACCORD SUR LE FOND", NKM R?TICENTE
Interrogé mercredi matin, lors du point presse hebdomadaire de l'UMP, M. Copé s'est défendu de au FN la dénonciation du racisme anti-Blancs. "Personne n'est propriétaire ni des mots, ni des ", a-t-il affirmé, estimant que le lien avec le FN "n'est pas [s]on sujet".?"Je ne vais pas m' de une réalité", a-t-il poursuivi, soulignant qu'il combattait toutes les formes de racisme.
"C'est très grave de des mots comme ?a quand on est un responsable politique", a de son c?té déclaré Anne Hidalgo, première adjointe PS du maire de Paris sur TV5 Monde. "Nous sommes là [url=http://www.diecastlinks.co.uk]hollister outlet[/url] pour et pas évacuer [url=http://www.marrakech-hotel.fr]hollister france[/url] un certain nombre de problèmes, a-t-elle nuancé. Il y a des problèmes d'intégration et de délinquance, [mais] affirmer les choses comme cela, c'est une fa?on supplémentaire d' les différentes composantes de notre communauté nationale."
"Nous nous sommes toujours opposés et nous nous opposerons toujours à une alliance électorale avec le FN. Mais pour autant, et je le dis avec la même force, cela ne nous empêchera pas de les sujets qui engagent, qui concernent, qui indignent, qui exaspèrent, qui inquiètent les Fran?aises et les Fran?ais", a-t-il ajouté.
FILLON PR?F?RE "APPORTER DES R?PONSES"
Avant d' sur son expérience locale à Meaux, pour – en creux – qu'il conna?t mieux "le terrain" que son rival pour la présidence de l'UMP, Fran?ois Fillon. M. Copé a toutefois affirmé ne pas se différencier de l'ancien premier ministre. "Je ne fais pas de publicité comparative. Je livre ma réalité", a-t-il assuré.
?Lire :
Le ministre de l'éducation nationale, , a accusé M. Copé de "le lien entre la droite et l'extrême [url=http://www.jeremyparendt.com/Barbour-Paris.php]barbour pas cher soldes[/url] droite". "Souhaitons que M. Fillon parvienne à le du jeu ", a glissé M. Peillon.
"Je sais que je brise un tabou en [url=http://s.jujf.com/home.php?mod=space&uid=290479][/url] employant le terme de 'racisme anti-Blancs', mais je le [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]abercrombie[/url] fais à dessein, parce que c'est la vérité que vivent certains de nos concitoyens et que le silence ne fait qu' les traumatismes", souligne M. Copé.