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Martin Hertzberg n'est pas non plus un "spécialiste climatologue", mais "consultant en science et technologie" - c'est en tout cas ce qu'il indique en préambule d'un article (sans apport de résultats scientifiques) publié récemment dans Energy & Environment.
ègre écrit : "Il y a, dans divers pays, de nombreux spécialistes climatologues qui, souvent au péril de leur survie scientifique, ont combattu les théories du GIEC." "Je donne donc quelques noms parmi les plus prestigieux, et sans être exhaustif, poursuit-il. Les Scandinaves Svensmark et Christensen, , , , , Funkel et Solansky, Usoskiev, Hartmann, Wendler, , Syun-ichi-Akasofu."
L'Américano-Israélien Nir Shaviv et les Svensmark et , spécialistes du Soleil, sont connus pour leurs travaux - très controversés - liant l'activité solaire et les variations climatiques au XXe siècle. Tous les physiciens solaires ne sont cependant pas sur cette ligne, tant s'en faut. Ainsi, de Wit (Laboratoire [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich outlet[/url] de et chimie de l'environnement et de l'espace), également "enr?lé", dit ainsi : "L'influence du Soleil sur le terrestre est incontestable et est toujours l'objet [url=http://www.mxitcms.com/tiffany/]tiffany outlet[/url] de nombreux travaux, mais, depuis le XXe siècle, il est clair que les gaz à effet de serre émis par les activités humaines ont une influence dominante. L'influence de la variabilité solaire est largement secondaire, au moins pour ce que nous en savons aujourd'hui."
ETUDES INTROUVABLES
Dans [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister france[/url] la longue liste égrenée par M. Allègre, on trouve aussi Dennis [url=http://www.hollisterhanesmorgan.co.uk]hollister[/url] Hartmann, professeur à l'université de Washington. Mais lui aussi réfute son [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour paris[/url] "enr?lement". "Je pense que l'ensemble de preuves présenté par les scientifiques travaillant sur les rapports du GIEC est très convaincant sur le fait que la Terre se réchauffe en [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey outlet[/url] conséquence directe des activités humaines, explique-t-il. Et que si nous continuons à la quantité de CO2 [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] dans l'atmosphère, la Terre continuera à se réchauffer pendant ce siècle."
Quant à Richard Courtney, également mentionné par M. Allègre, il n'est pas climatologue, mais "consultant [url=http://soccerhoney.com/index.php?p=blogs/viewstory/575226]abercrombie milano Do Your Bit In Avoiding Motorcy[/url] indépendant en énergie et environnement", à en la page qui lui est consacrée sur le site Web du Heartland Institute - un think tank conservateur américain. Celle-ci précise notamment que "ses réussites ont été saluées par l'association pour la gestion des industries minières de ".
Autre caution supposée prestigieuse de M. Allègre, "Denis Haucourt" : ce nom est absent des bases de données de la littérature scientifique. Ce spécialiste présumé du climat semble ne pas , à moins que l'orthographe de son nom ne soit erronée. De même, l'index de Scholar avec le nom d'auteur "Funkel" renvoie à 17 études. Elles portent sur des travaux en dermatologie, en sciences de l'informatique, sur le traitement des appendicites chez des patients atteints de tuberculose... mais aucune ne traite du climat ou même des de la Terre. On cherche aussi en vain les études publiées par un certain "Usoskiev". Elles sont introuvables.
"Solansky" n'existe pas non plus. Mais on reconna?t là Sami Solanki, l'un des plus grands spécialistes mondiaux de physique solaire (Institut Max-Planck de recherche sur le système solaire, ). Interrogé par Le Monde, M. Solanki réfute avec vigueur les qui lui [url=http://www.hs71.net/forum.php?mod=viewthread&tid=563246]tiffany outlet Yahoo! et eBay sunissent pour contrer Google[/url] sont attribuées par M. Allègre. "Je ne suis pas opposé aux principales conclusions du GIEC, c'est-à-dire que la Terre s'est globalement réchauffée de 0,8 ° C dans le dernier siècle environ, et qu'une large fraction de cela est due aux gaz à effet de serre émis par l'homme, explique-t-il. En particulier, la forte augmentation de température sur les derniers 40 ans n'est définitivement pas due à la variabilité solaire, [url=http://www5f.biglobe.ne.jp/~shanil/mv/bbs2/t-yybbs.cgi]barbour uk outlet Buy Backlin[/url] mais le plus vraisemblablement, à l'effet dominant des gaz à effet de serre."
Ailleurs dans son livre, M. Allègre étaye son opinion, très négative, sur les modèles numériques de prévision du climat en convoquant la prestigieuse [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]abercrombie milano[/url] caution de Carl Wunsch, l'un des plus grands océanographes vivants, professeur au Massachusetts Institute of Technology (MIT). M. Allègre cite ainsi un extrait d'une allocution récemment donnée par M. Wunsch : "Notre insuffisante connaissance de l'océan met toute prédiction du climat à long ou moyen terme hors du champ de [url=http://www.mansmanifesto.fr/category/doudoune-moncler/‎]doudoune moncler[/url] la science." Contacté par Le Monde, M. Wunsch se reconna?t dans cette opinion. Mais il tient à : "Je [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]www.vivid-host.com/barbour.htm[/url] pense que les modèles ne sont pas pertinents pour prédire le climat, mais qu'ils montrent de manière plausible les conséquences du réchauffement climatique, c'est-à-dire les risques que nous encourons. Et je trouve que ces risques sont extrêmement inquiétants."
Egalement sollicité par Le Monde, Gerd Wendler, directeur du de recherche climatique de l'université d'Alaska, autre enlisté de M. Allègre, explique : "Je [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php]giuseppe zanotti pas cher[/url] pense que les changements anthropiques (les gaz à effet de serre et les modifications de paysages) mais aussi les changements naturels détermineront le climat du futur." Et, s'il dément être un opposant [url=http://www.mansmanifesto.fr/category/doudoune-moncler-homme/]doudoune moncler homme[/url] farouche au GIEC, M. Wendler ajoute : "Ignorer les changements naturels comme l'a fait le rapport du GIEC est incomplet."