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Les seconds l'ont emporté. A l'automne 2001, de nombreux arguments plaidaient en leur faveur. Le responsable des attentats contre le World Trade Center et le Pentagone paraissait bien se en Afghanistan ; le [url=http://www.davidhabchy.com]barbour sale[/url] régime des talibans était dénoncé par l'ensemble de la communauté internationale, en tout cas par les pays qui la représentent au Conseil de sécurité des Nations unies ; tout le monde, ou presque, était d'accord pour un grand coup, tout de suite, en réponse à la tragédie américaine. Autant cette communauté internationale était enlisée depuis la [url=http://www.1855sacramento.com/moncler.php]moncler sito ufficiale[/url] première guerre du Golfe en 1990-1991 dans l'affaire irakienne, autant il lui était facile de réaliser son unité pour "libérer" l'Afghanistan. Non [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister france[/url] seulement les Russes approuvaient l'opération "Liberté [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk outlet[/url] pérenne", mais ils avaient le sentiment que les Américains agissaient dans leur propre intérêt, car eux-mêmes craignaient la contagion islamiste sur leurs frontières méridionales. Parce qu'elle était [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] présentée comme une "guerre de nécessité", l'intervention en Afghanistan suscitait [url=http://www.davidhabchy.com]barbour outlet[/url] une large approbation, bénéficiant de la légitimité internationale conférée par l'ONU.
first". Autrement dit ceux qui, depuis [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey[/url] longtemps, voyaient en Saddam Hussein le plus grand danger pour la sécurité des Etats-Unis et ceux qui voulaient Oussama Ben Laden et ses alliés talibans.
Pour autant, [url=http://www.ilyav.com/uggpascher.php]boots ugg pas cher[/url] il est difficile d' un désengagement des Occidentaux d'Afghanistan. Pour des raisons qui tiennent aux conditions [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich bologna[/url] dans lesquelles l'intervention a été engagée, au constat qu'aucun de ses objectifs n'a été encore atteint et au r?le essentiel attribué à l'OTAN qui joue sa crédibilité dans sa première opération hors d'. Avant son élection, avait envisagé une réduction de la présence fran?aise, voire un retrait complet. Il est revenu sur cette idée qui aurait été dans ses relations avec les Etats-Unis ce que le non à la guerre en Irak avait été pour Jacques Chirac.
Le problème reste entier. Il ne suffit pas d', comme en Irak, une "solution politique" à la place d'une "solution [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich outlet[/url] militaire" pour le résoudre. que cette solution politique pourrait se révéler plus facile à Bagdad qu'à Kaboul n'est pas trop loin le paradoxe.
Tout le contraire de la guerre en Irak. En 2003, l'intervention américaine contre Saddam Hussein est apparue comme une "guerre de choix", dictée non par des impératifs de sécurité internationale partagés par l'ensemble des puissances, mais par la seule volonté du président américain et de son entourage. Elle a suscité l'opposition de trois membres permanents du Conseil de sécurité, dont deux - la France et [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey outlet[/url] la - ont formé avec l' un front du refus, désastreux pour Washington. Les Etats-Unis ont court-circuité l'ONU, privant leur action de légalité, sinon de légitimité, internationale. L'enlisement dont ils peinent à en paraissait inscrit dans cette conjonction de facteurs négatifs.