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D'abord, un film tourné à d'une performance qui s'est tenue à Bordeaux, en octobre 2009, devant [url=http://www.gotprintsigns.com/uggpascher/]bottes ugg pas cher[/url] une salle de concert désaffectée : haut lieu de l'émergence du punk en France. Voilà des années que pas un bruit ne vient la . Anri Sala lui redonne vie, en faisant de sa fa?ade en mosa?que la chanson [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich bologna[/url] culte des Clash, Should I Stay or Should I Go. "Je l'ai choisie, car c'est la seule mélodie du punk, or seule la mélodie entre dans le , pas le rythme", analyse l'artiste. Soudain, un orgue de barbarie [url=http://www.lyg88.net/forum.php?mod=viewthread&tid=45015]outlet hogan Free Home Online Work - Great 4 Ways To Make Money[/url] surgit du coin de la rue. Il prend le relais, interprétant de ses stridences rétro la ritournelle punk. Flash-back vers le passé du No Future : déjà, les saisons se brouillent.
A la galerie Crousel, le spectateur peut pour cette composition : blotti dans [url=http://www.gotprintsigns.com/uggpascher/]ugg pas cher[/url] le verre d'une fenêtre inspirée de Le Corbusier, soufflée d'une bulle, une petite bo?te à musique l'attend. S'il l'active, il en fait les notes de Should I Stay, presque ridicules, et peut la performance bordelaise, ou "clasher" Puccini. Pour Anri Sala, il s'agit de "faire l'architecture". "J'aime à une idée, un espace, sous l'influence du monde, pour les "mettre en fréquence" [url=http://euceso.home.pl/forum/index.php?topic=1506566.msg1899417#msg1899417]hollister outlet sale En Italie, syndicats et patronat œuvrent pour la productiv[/url] par le biais du son et de la [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin[/url] musique." Il se souvient ainsi de son film The Long Sorrow, où le saxophoniste new-yorkais Jemeel Moondoc, perché sur le toit d'un immeuble moderniste berlinois, jouait à destination de la terre.
"Faire l'"
On sent que quelque chose de dramatique pourrait , mais tout reste en suspens. Puis le film s'arrête, et la voix de soprano de Madame Butterfly s'élève, [url=http://www.msc-sahc.org/moncler.asp]moncler doudoune[/url] aria encore pleine d'espoir avant le désamour. Répartis sur cinq haut-parleurs, les chants du fameux duo de l'opéra de Puccini, Vogliatemi ben, tournent [url=http://www.oneslive.com/forum.php?mod=viewthread&tid=2267662&pid=2632765&page=1&extra=page=1#pid2632765]barbour uk outlet Cable TV Providers In My Area -[/url] dans l'espace. "Là encore, on sent que quelque chose va [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister france[/url] se : les mots sont sereins, mais la musique annonce déjà le drame à ." Posé sur la verrière, l'éventail de la belle abandonnée palpite en lumière. d'une sublime performance, imaginée pour la pièce [url=http://www.hanesmorgan.com]hollister sale[/url] collective Il Tempo del Postino, en 2008 : Anri Sala avait alors envoyé dans les rangs des spectateurs une armada de cinq Butterfly, cantatrices un peu perdues qui offraient ensemble leur désespoir, avant de se sur scène pour chacune à leur tour la [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] voix. "Un moment intime, qui [url=http://www.achbanker.com/home.php]www.achbanker.com/home.php[/url] devenait public."
. Le jeune artiste d'origine albanaise, installé [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]giubbotti peuterey[/url] à Berlin, le creuse une nouvelle fois magnifiquement à la galerie , dans le quartier parisien du Marais. Son exposition se fait mélodie chaotique, articulée en différentes respirations, sur un cycle d'environ vingt [url=http://www.buynflticketsonline.com]NFL Tickets[/url] minutes. Elle est écrite comme une partition où différentes temporalités viennent se mêler.
"La musique est pour moi une manière de la possibilité de cette architecture si décriée qui a rencontré une impasse." D'un hymne punk à une aria romantique, harmonies paradoxales pour temps brouillés.Anri Sala. Galerie Chantal Crousel. 10, rue [url=http://www.mansmanifesto.com]doudoune moncler[/url] Charlot, Paris 3e. Mo Saint-Sébastien-Froissart. Tél. : 01-42-77-38-87. Jusqu'au 30 juillet. Du mardi au samedi, de 11 heures à 13 heures et de 14 heures à 19 heures. Entrée libre. Sur le Web : .