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Posted: Wed 12:27, 11 Sep 2013 Post subject: hollister outlet Andy Warhol mille milliards de |
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"From the Factory to the World". Photography and the , festival PHotoEspa?a, Gomez, Madrid. Jusqu'au 22 juillet.
A la fin de sa vie, on estime qu'Andy Warhol prenait un rouleau de film par jour. Mais la [url=http://www.rathmell-arch.co.uk/hollister.html]hollister outlet[/url] plupart de ces films finissaient dans des bo?tes, ni publiés ni consultés. "Une image veut juste que je sais où j'étais", disait-il. Confrontée à ce monceau de clichés sans [url=http://thebombconnection.com/classifieds/item/50469]outlet hogan La survie de leuro nest plus en jeu[/url] qualité, la Fondation Warhol, débordée, a fini par les à différents musées.
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Chacun, habitué ou visiteur d'un soir, semble y fait des images : des Polaroid, des Photomaton, des photos couleur ou noir et blanc..., autant de photos qui ont construit le mythe, ponctué la vie du lieu, et ont même été constitutives de son identité. "Andy était fasciné par tout ce qui [url=http://www.mylnefieldanalysis.co.uk/barbour.html]barbour outlet[/url] était technologie, a ainsi déclaré , qui fut le photographe officiel les premières années. C'était comme si la Factory était devenue un grand appareil photo - on rentrait dedans, on s'exposait, et on se développait."
Toutes les images ne sont pas de qualité, loin de là. Obsédé par la photographie, Andy Warhol était pourtant un piètre photographe, peu intéressé par le cadrage ou la lumière. Lassé par la complexité de l'appareil photo, il avait d'ailleurs confié à Billy Name un appareil et le soin de la vie du lieu. De toute fa?on, la photographie selon Warhol était rarement faite pour être encadrée au mur : il en aimait la dimension mécanique et amateur. "Chaque mauvaise photo est une bonne photo", déclarait-il dans une interview en 1985. Il l'utilisait de [url=http://www.getconversational.com]hollister pas cher[/url] fa?on obsessionnelle et ludique : il envoyait ses invités au Photomaton du coin pour se en photo. Il photographiait de fa?on compulsive toutes les stars qu'il croisait, et publiait ensuite dans son [url=http://www.mansmanifesto.com]doudoune moncler[/url] magazine Interview ou dans des . Il prenait aussi des nus masculins - pas inoubliables, mais qui battent en brèche le mythe d'un Andy Warhol "asexuel" qui a longtemps perduré.
Cecil Beaton, célèbre photographe de l'époque, [url=http://bbs.house5.net/home.php?mod=space&uid=169039][/url] a bien saisi la dimension performative attachée à la [url=http://www.buynflticketsonline.com]Cheap NFL Tickets[/url] Factory : dans le portrait collectif qu'il prend en [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] 1969, il fait de la transsexuelle une très belle femme. Tout le contraire de qui, dans un triptyque célèbre, s'appliquera au contraire à déshabiller tout ce petit monde pour [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey outlet[/url] le à nu.
Dès les débuts, en 1964, alors que la (recouverte de papier argenté) est installée sur la 47e Rue, à Manhattan, les images prises [url=http://www.mansmanifesto.com]doudoune moncler homme[/url] par les visiteurs réguliers ou occasionnels cultivent l'idée d'un lieu à la fois déjanté et glamour, qui mêle sans complexe l'extraordinaire et le banal. Sur les photos en noir et blanc de Billy Name, Andy Warhol est ainsi cerné d'un aréopage de superstars féminines à la pose étudiée.
Mais ce sont surtout les images d'un jeune [url=http://www.rivaluta.it/css/moncler.html]moncler outlet[/url] visiteur, , qui laissent l'image d'un lieu d'exception : ce surdoué, qui fera ensuite carrière comme l'un des grands photographes coloristes des années 1970, capte comme personne l'aura troublante d', héritière en rupture de ban, et capture l'ambiance survoltée de la Factory, entre liberté sexuelle débridée et inventions artistiques radicales.
Sur le Web : .
dans la célèbre Factory, atelier d'artistes et haut lieu de l'underground new-yorkais des années 1960 et 1970 ? Si l'on en [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister[/url] croit l'exposition de photographies présentée au festival PHotoEspa?a et consacrée à l'endroit, on y faisait la fête, on [url=http://beta.alithefox.com/home.php?mod=space&uid=116121][/url] prenait de la drogue, on couchait beaucoup - ainsi que le veut la légende. On y tournait aussi des films, on fabriquait les fameuses sérigraphies de Warhol et le y répétait sa musique. Ce que l'on sait moins, c'est que la Factory était un lieu de production photographique perpétuel.
De nombreux portraits de groupe soulignent l'utopie collective à l'oeuvre à la Factory, au-delà du seul Andy Warhol. Pour la commissaire de l'exposition, , les photographies ont servi à "exprimer l'espace [url=http://www.eastscotinvest.co.uk/mulberry.html]mulberry sale[/url] de liberté et de réinvention permanente" que fut le lieu. Ces images donnaient à chacun l'occasion d' le r?le et l'identité qu'il s'était librement [url=http://www.re-tek.co.uk/abercrombie.html]abercrombie uk[/url] choisis : artiste, musicien, star, voire homme ou femme. |
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