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PostPosted: Tue 5:08, 17 Sep 2013    Post subject: air jordan En France, la hausse des loyers demeure

Ces chiffres confirment une tendance qui a [url=http://www.jordanpascherofficiel.com]air jordan[/url] débuté avec la [url=http://www.davidhabchy.com]barbour outlet[/url] crise de 2008. "Depuis la dépression de 2008, le taux de mobilité des locataires tourne chaque année autour de 26 % à 27 %, hormis en 2011. Alors qu'auparavant, entre 2001 et 2006, nous étions sur un rythme de 29,4 % en moyenne [url=http://www.mansmanifesto.fr]doudoune moncler homme[/url] chaque année", poursuit M. Mouillart.
les marchés sur les espaces urbains et ruraux). Entre le 1er janvier et le 31 ao?t, 27 % de locataires du secteur privé seulement ont changé de , soit une baisse de 2,2 % du nombre de baux signés par rapport [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] à la même période de 2011. C'est moins qu'en 2011 où 27,6 % avaient changé d'habitation.
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Cette conjoncture maussade se retrouve dans le niveau des loyers : la hausse sur huit mois, comparée à la même période de 2011, est de 1,2 % sur l'ensemble de la France. En [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich parka[/url] 2011, elle avait été de 1,6 %. "Pour la 6e année consécutive, la hausse des loyers est inférieure à l'inflation. Depuis 2007, en moyenne chaque année, les loyers ont augmenté de 1,5 %, tandis que l'inflation a progressé dans le même temps de 1,7 %", précise [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich bologna[/url] M. Mouillart, qui s'attend, pour l'ensemble de 2012, à une hausse de 1,5 % maximum. Rien à , là encore, avec le début des années 2000, où, entre 1998 et 2006 en moyenne, les loyers [url=http://www.davidhabchy.com]barbour sale[/url] progressaient de 4,1 % l'an.
Même les grandes agglomérations n'échappent pas à [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] cette situation : à Paris, où avant 2006 près de 22 % des locataires changeaient de logement, on est aujourd'hui à un taux de 17,6 %.
"Moral en berne, inquiétude quant à l'évolution du marché du travail et préoccupation pour leur d'achat... les ménages sont peu enclins à un nouveau logement", analyse , professeur d'économie à Paris-Ouest et auteur de l'étude pour Clameur.
Dans 38,7 % des villes de [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey outlet[/url] plus de 60 [url=http://www.cloud12.cn/hr/home.php?mod=space&uid=27703][/url] 000 habitants, on recense même une baisse des loyers – c'était le cas dans 31,3 % d'entre elles en 2011. Et dans les grandes villes où les loyers progressent, les hausses restent [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister france[/url] modérées, comme le sont les baisses: +1,1 % à Nantes comme à Bordeaux, où les loyers au m2 atteignent respectivement 11,5 et 12,3 euros ; +0,7 % à Lille (13,5 euros) et +0,6 % à Lyon (12,4 euros). Paris enregistre une [url=http://home.mxeden.com/home.php?mod=space&uid=229727&do=blog&quickforward=1&id=741878]jordan pas cher How To Grow Your Home Business On[/url] hausse de 2,6 % (23,7 [url=http://www.21cnc.cn/home.php?mod=space&uid=1045][/url] euros) et Brest de 3,3 % (8,8 euros).
"La demande étant déprimée, les propriétaires savent que les locataires ne pourraient pas une progression [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk outlet[/url] trop forte des loyers", poursuit M. Mouillart. Pour relouer, ils sont contraints de modérer les prix, voire, pour certains, de céder aux exigences des futurs locataires en leur accordant quelques coups de peinture.
S'il est encore [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] trop t?t pour évaluer les effets de la nouvelle réglementation d'encadrement des loyers, entrée en vigueur le 1er ao?t, le marché semble depuis ces dernières années s'autoréguler par la déprime de la demande.
UNE DEMANDE D?PRIM?E

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