Guild Wars Guild :: Topic review - hollister outlet sale LOPA de Schneider sur Invens

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L'initiative confirme un certain réveil des fusions en Europe. En juillet, 358 opérations y ont été annoncées, pour un [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] total de 70 milliards d'euros, selon Bloomberg. Le nombre de transactions n'a rien d'exceptionnel, mais leur valeur totale marque, elle, un vrai regain d'activité, déjà perceptible en juin. Depuis la crise de 2008-2009, la valeur des fusions-acquisitions touchant l' stagnait plut?t entre 20 et 50 milliards de dollars (entre 15 et 37,6 milliards d'euros) par mois.
"Ces dix dernières années, le groupe s'est profondément transformé gr?ce à des acquisitions, souligne Ga?l de Bray, [url=http://www.gotprintsigns.com/hollisterpascher/‎]hollister pas cher[/url] analyste à la Société générale. Pour accélérer sa croissance, il s'est mis à des services et non plus seulement des produits, et il s'est renforcé dans les pays émergents. Il a aussi misé sur des métiers en essor, comme l'efficacité énergétique." En plus de du matériel pour ou l'électricité, le groupe vend désormais des solutions pour en économiser.
Même si l'Europe n'est pas sortie du marasme, l'accalmie sur le front des monnaies et la remontée des marchés boursiers donnent visiblement des ailes à certains groupes en forme. C'est ce dont témoignent le grand mariage conclu le 28 juillet entre Publicis et l'américain Omnicom, de même que l'achat des verres Transitions annoncé lundi par Essilor, qui ose ainsi la plus [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php]giuseppe zanotti pas cher[/url] grande opération financière de son histoire. Autre exemple, la reprise de l'opérateur [url=http://www.davidhabchy.com]barbour sale[/url] de téléphone allemand E-Plus par l'espagnol Telefonica, signée le 23 juillet pour 8,1 milliards d'euros.
UN PRIX JUG? ?LEV?
C'est un peu moins que [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich outlet[/url] la proposition de 505 pence par action sur la table il y a quelques semaines. Mais la part payée en numéraire, elle, a été portée à 74 %. Le reste sera versé sous formes d'actions Schneider. Le groupe devra pour l'occasion une augmentation de capital de 1 milliard d'euros. La hausse [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour paris[/url] de l'endettement risque de un peu les agences de [url=http://www.ilyav.com/uggpascher.php]ugg pas cher[/url] notation. Mais Schneider se dit prêt à que sa note baisse temporairement d'un cran.
Tout a changé en début d'année, quand Invensys a vendu sa branche ferroviaire à Siemens, comblant du même coup son déficit en matière de retraites. "Cette cession a considérablement clarifié la vocation d'Invensys", note M. Tricoire. Sans , "nous avons alors pris contact avec ses dirigeants." Au terme des discussions, Schneider a accepté de un prix jugé plut?t élevé sans être déraisonnable : 502 pence par action. Soit 14 % de plus que le cours d'Invensys à la avant l'annonce des discussions, et 27 % de mieux que la moyenne des trois mois précédents.
"C'est une opération stratégique pour nous, une brique supplémentaire pour un groupe qui propose toujours davantage à ses clients", explique le PDG de Schneider, .
Et deux acquisitions de plus [url=http://www.gotprintsigns.com/monclerpascher/]moncler pas cher[/url] ! Après les [url=http://www.1855sacramento.com/moncler.php]moncler sito ufficiale[/url] opérations spectaculaires lancées par Publicis et Essilor, deux autres grands noms entrent à leur tour dans [url=http://www5f.biglobe.ne.jp/~shanil/mv/bbs2/t-yybbs.cgi]giuseppe zanotti pas cher Mar[/url] la danse des fusions : et Eutelsat.
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Poids lourd de la filière électrique, Schneider a annoncé, mercredi 31 juillet, une offre publique d'achat (OPA) amicale sur Invensys, un fabricant britannique d'automatismes et de logiciels industriels, qui emploie 9 800 personnes. Montant de la transaction : 3,9 milliards d'euros.
"DES ET NON PLUS SEULEMENT DES PRODUITS"
Mais "tous ces investissements ont pesé sur les marges et la rentabilité", ajoute M. de Bray. Depuis deux ans, les dirigeants de Schneider avaient donc mis la pédale douce sur les acquisitions, préférant intégrer les s déjà reprises. Et les marges malgré la crise en Europe. Ce travail n'est pas achevé. M. Tricoire et son conseil ont cependant jugé qu'une OPA sur Invensys était jouable. Et qu'il ne fallait pas le coche.
Car si [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich bologna[/url] l'intégration d'Invensys n'augmente que d'environ 8 % le chiffre d'affaires de Schneider, elle doit lui de se très nettement dans les automatismes industriels, un de ses marchés clés, dominé par Siemens. L'OPA doit aussi au groupe fran?ais les portes de certaines compagnies pétrolières et gazières, alors que ses clients traditionnels se trouvent plut?t dans la construction, la mécanique, etc.
Par ailleurs, Schneider devrait améliorer les marges d'Invensys qui sont inférieures aux siennes, d'effets de taille, et [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] réaliser d'importantes économies d'. "Au total, le retour sur investissement sera rapide", de l'ordre de trois ans, promet M. Tricoire. La Bourse veut le [url=http://minowa-gekko.com/cgi-dir/bbs/joyful.1.cgi]barbour paris Three Of The Gr[/url] : mercredi matin, l'action Schneider montait de 3 %. Elle s'est appréciée de 30 % en un an.

L'OPA de Schneider relève de la même logique. Des forges du Creusot (Sa?ne-et-Loire) au matériel électrique en passant par la sidérurgie, l'histoire de ce groupe né en 1 836 a épousé les heurs et malheurs de la France industrielle. Avec son lot de rapprochements parfois mouvementés, comme pour [url=http://signalstudios.net/vanilla/discussion/52695/hollister-outlet-sale-la-vraie-vie-des-profs-les-goonies-a-la-recre]hollister outlet sale La Vraie Vie des profs les Goonies à la récré[/url] Telemecanique.
Ces dernières années, plusieurs groupes comme l'américain s'étaient intéressés à cette ancienne vedette de la de Londres. Mais le [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] déficit de son plan de retraite et la diversité de ses activités avaient refroidi leurs ardeurs.