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Posted: Tue 16:33, 24 Sep 2013 Post subject: doudoune moncler Arrêt du dernier réacteur |
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Le redémarrage des réacteurs reste une source d'indécision. Un été sans nucléaire, qui s'accompagnera dès juillet des débuts d'une politique volontariste de soutien au développement de l'électricité d'origine renouvelable, pourrait le débat sur le besoin réel de cette [url=http://www.mansmanifesto.fr]doudoune moncler[/url] source d'énergie.
L'ampleur de la contamination provoquée par l'accident de Fukushima pousse les départements voisins de [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] Fukui, Kyoto et Shiga à la prudence. Le gouverneur de Fukui, , veut les conclusions définitives de l' sur Fukushima, en juillet, pour se .
DES MESURES QUI NE CONVAINQUENT PAS
Après l'accident, le gouvernement a [url=http://www.mxitcms.com/tiffany/]tiffany outlet[/url] lancé une réflexion sur [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey outlet[/url] l' énergétique du Japon. Les conclusions en sont attendues cet été et le sort du nucléaire, qui assure 28 % des besoins en électricité de l'archipel, est au de l'exercice. D'ici là, le gouvernement souhaite plusieurs unités nucléaires afin de, dixit le premier ministre, , "limiter la pression sur les citoyens et les PME".
De leur c?té, les compagnies d'électricité brandissent la [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey[/url] menace d'un black-out comme elles l'avaient fait l'été puis l'hiver dernier. Kepco prétend ainsi ne pas plus que 83,7 % du pic de . Ce chiffre est contesté par l'Institut pour une d'énergies renouvelables (ISEP), qui reproche à la [url=http://fansbbs.awsn.net/thread-22037-1-1.html]barbour uk Retour sur le film « Musée haut, musée bas » - LeMonde.fr[/url] compagnie de ne pas en compte l' qui pourrait être fournie par les des régions voisines.
Une agence "indépendante" de contr?le de la filière nucléaire devait être inaugurée le 1er avril. Faute d'un accord avec l'opposition parlementaire, elle ne l'a pas été et la s?reté reste aux mains de la NISA et de la NSC (Commission de s?reté nucléaire), dont les dysfonctionnements - proximité avec [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] les opérateurs, promotion du nucléaire, manque de compétences techniques - ont été dénoncés après l'accident de Fukushima.
Dans ce contexte, la relance des réacteurs 3 et 4 de la centrale de Oi (propriété de Kepco) dans le département de Fukui (centre-ouest) a valeur de test. L'Agence de s?reté nucléaire et industrielle (NISA) l'a approuvée. Le gouvernement suit mais, confronté à une cote de popularité inférieure à 30 %, il veut d'abord l'adhésion des populations locales même s'il n'y est pas tenu par la loi.
A Oi, 54 % des résidents - dont une grande partie travaille pour Kepco - se disent prêts à un redémarrage pour des raisons économiques, mais 71 % [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister france[/url] d'entre eux avouent leur inquiétude pour la s?reté.
En outre, les mesures prises pour la population - [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]abercrombie[/url] double série de tests de résistance, création [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour paris[/url] d'une agence de s?reté indépendante, nouvelles normes de s?reté annoncées le 6 avril - peinent à . Les tests de résistance sont réalisés sur ordinateur et par les compagnies elles-mêmes. Ils [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister[/url] se fondent sur des données sismiques d'avant la catastrophe du 11 mars. Depuis, les sismologues ont réévalué les risques, mettant notamment en évidence l'existence de failles actives jamais signalées auparavant, qui pourraient d'ailleurs certaines centrales existantes comme celle de Tsuruga.
Pour à cette hausse annoncée, les industriels réclament le redémarrage de réacteurs et menacent de délocaliser leur production si l'électricité devient trop chère. "Les efforts d'économie réalisés en 2011 ne peuvent être reproduits chaque année", a déclaré, le 23 avril, , président de la puissante fédération patronale Keidanren.
Le 5 mai, le dernier des 54 réacteurs nucléaires du encore en service, le numéro 3 de la centrale de Tomari (Hokkaido, nord), sera arrêté pour inspection. L'archipel fonctionnera sans électricité d'origine pour la première fois depuis quarante-deux ans. Pour combien de temps ? Difficile à dans un pays aux limitées, profondément marqué par la catastrophe du 11 mars 2011 à la centrale de Fukushima. La résolution de cette crise prendra au minimum quarante ans et pourrait co?ter 20 000 milliards de yens (189 milliards d'euros). A condition qu'aucun nouveau séisme ou tsunami n'aggrave une situation toujours précaire dont les conséquences sanitaires restent difficiles à évaluer.
MENACE D'UN BLACK-OUT
Car pour l'arrêt des réacteurs, les compagnies [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich bologna[/url] d'électricité ont recours aux centrales thermiques fonctionnant au ou [url=http://dbyouqi.com/viewthread.php?tid=9287&extra=]abercrombie milano Les footballeurs espagnols de Pontevedra inventent un autre g[/url] au gaz. Leurs co?ts augmentent et leurs résultats financiers en souffrent. Ainsi, la Compagnie d'électricité du Kansai (Kepco), a [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk[/url] [url=http://www.islii.com/index.php?page=item&id=115561]doudoune moncler homme Climat dans le secret de lAcadémie des sciences[/url] enregistré des pertes de 242,2 milliards de yens au cours de l'exercice 2011. Les prix de l'électricité devraient .
Cette prudence est largement partagée dans la japonaise. "Nous ne pouvons l'absurde condescendance de ceux qui rejettent le scénario du pire en le qualifiant de réaction excessive ou ceux qui se disent réalistes en minimisant les risques au nom de la croissance économique", estimait, début avril, un éditorial du quotidien Mainichi. |
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