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ayhda88r
PostPosted: Mon 6:10, 07 Oct 2013    Post subject: hollister sale Sortir la Grèce de la zone euro et

Ouvrage : "Bonnes nouvelles des conspirateurs du futur" (Odile Jacob, 334 p., 20 euros).
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(valeur divisée par deux pour [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] BNP-Paribas et le Crédit agricole, par presque trois pour la Société générale) seraient emportées par le tsunami financier qui déferlerait si la gangrène gagnait l'. En effet, leurs engagements y sont bien plus élevés qu'en Grèce et approchent les 40 milliards d'euros !
Il est temps de la fin de la récréation. On peut à l'Europe des Vingt-Sept sans être dans la zone euro à seize. Pour mériter cette dernière, il faut de ou de à l' buissonnière et modèle sur les meilleurs élèves : l', mais aussi l' et les ou la . Il n'y a pas de précédent historique de monnaie sans épée : il aurait fallu une monnaie commune et non pas unique.
On dira que la Grèce souffre avec une régression de 5 % de son PIB en 2010. Mais les Pays baltes (, et Estonie) ont connu pire en 2009, avec un recul de plus de 15 % de leur PIB. Cette cure leur a été salutaire, et l', qui est le seul des trois pays appartenant à la zone euro, a retrouvé une croissance positive de 3 [url=http://www.gotprintsigns.com/abercrombiepascher/‎]abercrombie pas cher[/url] % en 2010 et de 8 % en 2011 ! La Suède a réduit le poids de la dette publique en baissant les dépenses publiques de plus de 72 % du PIB en 1993 à 53 % en 2010 sans que cela se traduise par un recul de la croissance. Au contraire, celle-ci a été plus forte pendant la phase de réduction des dépenses publiques qu'auparavant.
Ceux qui pr?nent les "eurobonds" comme solution miracle, pour [url=http://www.mxitcms.com/tiffany/]tiffany outlet[/url] la vertu, oublient de aux Fran?ais qu'ils devront alors plus pour le service de leur propre dette qui absorbe déjà 2,5 % du PIB annuel de l'Hexagone, soit 1 point de plus que sa croissance tendancielle. Si la France ne veut pas comme la Grèce, elle doit modèle sur le voisin allemand. Ce dernier caracole avec 3 % de croissance, un ch?mage de deux millions inférieur à ce qu'il était il y a trois ans et un taux d' supérieur de six points au n?tre. En Allemagne, c'est l'ANPE qui licencie faute de ch?meurs !
Ainsi, la France vit au-dessus de ses moyens depuis trente ans. On a amorti la crise en finan?ant la par la dette. La France recule : son PIB par habitant est inférieur de 10 % à celui de l'Allemagne alors qu'en 1980, il était supérieur de 4 %. Derrière la richesse créée par habitant, il y a les cercles vertueux de la compétitivité et du temps de travail productif. La [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister france[/url] France a 10 points de dépenses publiques de plus que l'Allemagne, et elle a perdu 10 points de compétitivité-prix depuis dix ans : les deux phénomènes sont [url=http://www.ilyav.com/uggpascher.php]boots ugg pas cher[/url] liés, et c'est ainsi que 40 % de notre déficit industriel vient de l'Allemagne, et non pas des pays à bas salaires.
Les Allemands ont raison de leur à des contreparties de rigueur. Ils n'ont, pas plus que les Fran?ais, à les des [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich outlet[/url] Grecs. C'est pourtant ce qui s'est passé cet été : la France s'est engagée à hauteur de 15 milliards d'euros pour la Grèce. Pour ne pas accro?tre sa propre dette d'autant et de dégrader sa signature, le gouvernement fran?ais a lancé en urgence un plan de rigueur à hauteur de 12 milliards d'euros. On relèvera la perversité des de Bercy qui parlent de "réduction des dépenses fiscales" pour désigner des augmentations de recettes qui justement permettent de à dépenser plus. Comme pour mieux oublier que l'on ne s'attaque pas à l'essentiel : la réduction des dépenses publiques de fonctionnement et d'assistance !
La seule différence, qui explique notre fameuse note AAA, c'est qu'on a une réputation (justifiée) d'efficacité dans notre capacité à de l'imp?t. Si c'est la droite des déficits publics et des renoncements qui l'emporte, on ne pourra pas réformer, et si c'est la gauche démagogique qui refuse de les dég?ts des 35 heures, on va se , comme en 1981, avec des promesses dangereuses à à grands [url=http://www.mtomato.net/bbs/home.php?mod=space&uid=484524][/url] renforts d'assistance, d'emplois publics... mais, cette fois, le tournant [url=http://www.weshinemusic.com/]www.achbanker.com/homes.php Le second sarcophage de Tchernobyl tarde à émerger[/url] de la rigueur arrivera au bout de six mois ou neuf mois, car l'euro nous oblige plus que le franc à ne pas trop dérailler.
Augmenter les imp?ts sans s' au gras du mammouth est suicidaire. Réduire la dépense publique où la France détient des records européens (avec 54 % du PIB) est pourtant la voie prioritaire pour une croissance saine et vertueuse. Dans le passé récent, la et le ont montré le chemin. C'est donc possible. A ce jour, aucun [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]abercrombie[/url] des candidats à la présidentielle de droite comme de gauche ne tient ce discours.
La France a reculé en niveau de vie, parce qu'elle travaille deux à trois semaines de moins par habitant et par an que ses voisins. Elle est devenue moins compétitive en raison du co?t du travail et des charges. La mondialisation n'est donc pas en cause puisque 40 % de notre déficit industriel provient de l'Allemagne dont le co?t [url=http://www.ilyav.com/isabelmarant.php]isabel marant pas cher[/url] horaire du travail dans l' est désormais comparable au n?tre mais avec la qualité des produits et [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] des services en plus. Il y a dix ans, les [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] exportations fran?aises représentaient 55 % des exportations allemandes, aujourd'hui c'est 40 % seulement. La différence entre l'excédent allemand et le déficit extérieur fran?ais est de l'ordre de 200 milliards d'euros !
C'est bien de cela qu'il s'agit pour la Grèce où la dette publique va dépasser en 2011 150 % [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich[/url] du PIB. La sortie de la Grèce de la zone euro serait un choc salutaire pour la France. Sinon, un jour ou l'autre, on va découvrir qu'on n'est plus AAA, l'Allemagne nous demandant de dans le rang sous peine de au [url=http://www.ihaveadreambook.in/forum/topic.php?id=92396]tiffany outlet Coupe Davis les Bleus arrachent le point du[/url] mark, car l'euro n'est qu'un "sous-mark". D'ailleurs, si une majorité de la classe de droite comme de gauche est aujourd'hui plut?t solidaire du "mauvais élève" grec, c'est qu'elle sait que notre pays est dans la même situation...
Si la France continue à au-dessus de ses moyens en prenant dans la poche de ses enfants (en 2010, la croissance du PIB de 1,5 % a été obtenue par 7 % [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin[/url] de PIB de dette supplémentaire !), elle finira comme la Grèce. Notre endettement représente déjà 85 % du PIB et les déficits publics continueront tant que l'on ne réduira pas la dépense.

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