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Or, la vidéo comme les opérations spéciales sont des formats très prisés des annonceurs de la grande qui ont [url=http://www.mxitcms.com/tiffany/]tiffany outlet[/url] accru leur présence sur Internet. D'autant que certains misent sur le commerce en ligne, à l'instar de [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] l'américain Procter & Gamble qui a choisi de ses couches Pampers sur .
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Mais le fait marquant de 2010, pour M. Bourgeais, "est le retour à la [url=http://www.moncleroutletosterblade.com]moncler[/url] croissance de la publicité display ou graphique". Pour la première fois, ce segment avait affiché un recul en 2009 en raison de la crise. En 2010, il a bondi de 12 % à 540 millions d'euros. "Cette accélération s'explique par la volonté des annonceurs de avec des opérations de [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] [url=http://www.hoozmate.com/blogs/posts/George32du78]louboutin Accident vasculaire cérébral sites e[/url] notoriété, d'image", [url=http://www.mnfruit.com/airjordan.php]jordan[/url] explique M. Bourgeais. Cette stratégie se traduit par la multiplication d'opérations spéciales sur les sites où aspects publicitaire, marketing et éditorial sont couplés. Ce sont des offres sur mesure, plus lucratives pour les éditeurs du Web. Autre phénomène mis en exergue par Luc Tran Thang, président du SRI, chargé de la régie publicitaire d' : "Le développement de la vidéo qui tire les prix vers le haut."
Le grand gagnant reste le géant américain Google. Il domine le plus gros segment du marché de la publicité en ligne : les liens [url=http://www.jordanpascherofficiele.com]air jordan[/url] sponsorisés. L'investissement des marques dans ces liens qui guident l'internaute vers leur site a atteint 960 millions d'euros (+ 9 %). Or, plus [url=http://cgi.www5f.biglobe.ne.jp/~taffyrin/cgi-bin/aska.cgi]lancel Exchanging Christmas G[/url] de 80 % de ce pactole va dans les poches de . "Cette hausse reste indexée sur celle du nombre d'internautes fran?ais", affirme Jér?me Bourgeais, directeur associé de Capgemini Consulting.
La vidéo devrait être un des moteurs du marché en 2011. De même, la publicité sur le mobile, qui a progressé de 23 % en 2010 mais [url=http://www.louboumaterialistanyc.com]louboutin pas cher[/url] ne pèse encore que 27 millions d'euros. "L'audience des sites mobiles est [url=http://www.crossfire-airsoft.com/vanilla/discussion/26391/jordan-pas-cher-c-te-divoire-le-camp-gbagbo-refuse-tout-partage-du-pouvoir]jordan pas cher C te dIvoire le camp Gbagbo refuse tout partage du pouvoir[/url] en avance sur leur commercialisation. Le mobile représente 15 % de notre audience, mais 3 % de nos revenus", confirme Grégoire [url=http://www.gotprintsigns.com/abercrombiepascher/‎]abercrombie soldes[/url] Lassalle, directeur général d'Allocine. Une problématique partagée par les . "Toutes les grandes marques investissent les réseaux sociaux, cela ne veut pas qu'elles achètent [url=http://www.louboumaterialistanyc.com]louboutin[/url] systématiquement de l'espace publicitaire", affirme M. Tran Thang. Un enjeu de taille pour .
Le marché de la publicité vidéo, estimé à 30 millions d'euros, a triplé en un an. De quoi Allocine.com, qui diffuse des publicités avant et après les bandes-annonces de film. Mais aussi des sites comme Jeuxvideo.com d'Himedia, où les spots accompagnent les extraits de jeu. Ou encore les sites de [url=http://www.moncleroutletosterblade.com]moncler outlet[/url] télévision de rattrapage.
Mobiles et réseaux sociaux
2,3 [url=http://www.ilyav.com/uggsoldes.php]boots ugg pas cher[/url] milliards d'euros, selon les chiffres publiés, mercredi 12 [url=http://www.gotprintsigns.com/abercrombiepascher/‎]abercrombie pas cher[/url] janvier, par le Syndicat des régies Internet (SRI) et . Les perspectives tracées par cette étude sont optimistes : un rythme de croissance de 10 %, voire de 12 %, est attendu en 2011.